samedi 9 juin 2012

Appel d'offre - Prix de la Francophonie pour jeunes chercheurs


06/06/2012 - Jacqueline Levoux , Directrice artistique - pigiste
Bonjour à toutes, à tous.

MERCI beaucoup de DIFFUSER LARGEMENT cette INFORMATION et ATTENTION AUX DATES !

Prix de la Francophonie pour jeunes chercheurs :
6ème édition 2012-2013-prolongation de la date limite de participation

Region émettrice: Afrique centrale et des Grands-Lacs, Amériques, Afrique de l'Ouest, Asie-Pacifique, Caraïbe, Europe centrale et orientale, Moyen-Orient, Europe de l'Ouest et Maghreb, Océan Indien, Maghreb, Europe de l'Ouest, International.

L’Agence universitaire de la Francophonie lance un appel à candidatures pour la sixième édition des Prix de la Francophonie pour jeunes chercheurs.

Cet appel est ouvert jusqu'au 30 septembre 2012.

Les « Prix de la Francophonie pour jeunes chercheurs » ont pour but de reconnaître le mérite et la valeur d’un(e) chercheur(se) ayant acquis une reconnaissance scientifique et ayant réalisé une percée significative internationale, en particulier dans le cadre de la Francophonie.

Les Prix sont ouverts dans les champs disciplinaires suivants :
• sciences et médecine
• sciences humaines et sociales.
Les Prix s’adressent à des candidats(es) :
• âgé(e)s de moins de 40 ans;
• titulaires d’un doctorat ou d’un doctorat d’État;
• justifiant d’une activité de recherche entre 4 et 10 ans après la thèse;
• rattaché(e)s à des établissements membres de l’AUF.

Le processus d’évaluation des dossiers et de sélection des lauréats est placé sous la responsabilité du Conseil scientifique de l’AUF.

Une dotation de 9000 euros sera attribuée, en 2013, à chacun des lauréats.

La date limite pour répondre à l’appel est le 15 juillet 2012 (à minuit heure Montréal).

Avant de remplir le formulaire de candidature en ligne, vous devez attentivement lire le règlement des Prix et préparer d'avance toutes les pièces justificatives sous format PDF afin de les joindre dans la dernière rubrique du formulaire.

Vous devez télécharger la fiche Attestation du responsable de l’institution présentant la candidature et joindre cette attestation dûment remplie à la rubrique 6-3 du formulaire de candidature en ligne :

• Règlement du Prix de la Francophonie pour jeunes chercheurs (en format pdf) (en format pdf)
• Attestation du plus haut responsable de l'institution présentant la candidature (en format doc)
• Attestation du plus haut responsable de l'institution présentant la candidature- (en format pdf)
• Affiche Prix de la Francophonie pour jeunes chercheurs (en format pdf)

Pour de plus amples informations, veuillez contacter les différents bureaux régionaux de l'AUF et leurs implantations.

http://www.auf.org/actualites/prix-francophonie...

Bonne chance aux porteurs de projets.

bon après-midi.

Jacqueline

Ballade à Beyoglu


vendredi 8 juin 2012

ETUTEK: association pour les étudiants franco-turcs


Étutek rapproche les étudiants franco-turcs juin 6, 2012

Posted by Acturca 
Ouest France
6 juin 2012, Nantes
Cette association a fêté sa création, dimanche, à Nantes. Elle regroupe une soixantaine de jeunes Bretons et Ligériens.
Étutek : « étu » pour étudiant et « tek » pour « seul » en turc. Ce qui donne en français : es-tu seul ? « Un questionnement pour interpeller tous les étudiants franco-turcs des régions Bretagne et Pays de la Loire », dit Tuba Bengu, en cinquième année d’odontologie à Brest.
Étutek : le nom de la nouvelle association qu’elle préside. « On est là pour renforcer les liens d’amitié entre la culture française et la culture turque (à travers des projets socioculturels), explique Tuba Bengu. On veut favoriser le dialogue entre les étudiants français d’origine turque. »
Ceux-ci étaient « une bonne trentaine (sur les 60 que compte l’asso) », dimanche dernier, au siège de l’Association culturelle turque de Nantes et d’Étutek (21 bis, boulevard du Bâtonnier-Cholet). Étutek fêtait son inauguration, à grand renfort de pâtisseries turques.
La présidente continue de présenter son asso : « On est là pour montrer la voie des études aux lycéens français d’origine turque. » Seulement « 4 % des jeunes français d’origine turque font des études supérieures, souligne Hidayet Gündogdu, 21 ans, en master 1 comptabilité – contrôle – audit à l’université de Nantes… Et trésorier d’Étutek. Il y a autre chose que le bâtiment et la restauration rapide. »
« On peut s’intégrer dans la société », assure la jeune Elif, en BTS opticien – lunetier à Nantes. « Notre but, c’est le vivre ensemble », affirme Muhammed, 20 ans, étudiant en deuxième année de droit à Rennes.
Orhan Bas, 47 ans, médecin généraliste dans le Finistère, a conclu son intervention par un poème de Yunus Emre : « Venez et faisons connaissance, rendons aisé le malaisé. Aimons et tâchons d’être aimé. Ce monde n’appartient à personne. » Orhan Bas prône « le dialogue, toujours le dialogue : tout le monde y sera gagnant ». Il dit « au revoir » en breton et « merci » en turc : « Kenavo. Tesekkür ederim. »
Contact. Hidayet Gündogdu, tél. 06 78 38 07 90 ; etutek.grandouest@gmail.com.

10eme Olympiades de la langue turque


Coup d’envoi grandiose des 10e Olympiades de la langue turque


La 10e édition des Olympiades de la langue turque a débuté mercredi 30 mai avec de splendides cérémonies organisées dans plus de 40 villes de Turquie. Les Olympiades réunissent chaque année des centaines d’élèves étrangers issus d’établissements turcs du monde entier.
1.500 élèves originaires de 135 pays sont venus en Turquie participer aux 10e Olympiades de la langue turque organisées par l’Association internationale pour l’éducation turque (TÜRKÇEDER). Si la compétition, qui va se poursuivre jusqu’au 14 juin, aura lieu principalement à Istanbul et à Ankara, des activités sont prévues dans 41 autres villes du pays. Le thème des Olympiades de cette année est «Main dans la main pour l’humanité» (Insanlik için el ele). Les cérémonies d’inauguration des Olympiades ont eu lieu mercredi dans plusieurs villes du pays, à l’instar de Rize, Sivas, Tokat, Eskisehir et Diyarbakir. A Rize, ils étaient quelques 20.000 personnes à y assister, dont le ministre du Commerce et des Douanes Hayati Yazici. A Malatya 70 élèves venus de 18 pays sont montés sur scène au stade Inönü pour la cérémonie d’inauguration. Le ministre des Sports Suat Kiliç a tenu à cette occasion à rendre hommage aux enseignants pour les efforts fournis au sein des écoles turques à travers le monde. La cérémonie d’inauguration principale a eu lieu à l’hôtel Four Seasons dans le district de Besiktas à Istanbul. Le président du comité d’organisation des Olympiades, Mehmet Saglam, a déclaré dans son allocution d’ouverture que les élèves qui participent à ces Olympiades avaient tous fait l’objet d’une sélection au sein des écoles turques internationales dans 135 pays. Il a ainsi rappelé que chacun avait été sacré champion dans son pays, et que la compétition qui se tient en Turquie devra nommer à son tour le champion des champions. Chaque année, environ 15.000 élèves de par le monde se préparent pour l’événement, affrontant dans leurs pays d’origine une concurrence féroce dans le but de se rendre en Turquie et participer aux Olympiades. Les responsables de chaque pays ont ainsi sélectionné les meilleurs élèves pour les représenter aux Olympiades. A l’issue de ce discours d’ouverture, les élèves ont fait la joie des invités en interprétant des chansons nostalgiques et des poèmes turcs, et en exécutant des danses folkloriques. Le ministre de l’Education Ömer Dinçer, qui s’est exprimé à la fin de la cérémonie, a dit combien il était fier de voir des élèves du monde entier réunis sous le drapeau turc. Il a déclaré enfin que les Olympiades étaient l’un des plus beaux moyens de promouvoir la paix, l’amitié et la fraternité.
Istanbul

en turc: KAYSERİ’DE DEPREM OLSA NE OLURDU?


KAYSERİ’DE DEPREM OLSA NE OLURDU? (foto galeri)
KAYSERİ’DE DEPREM OLSA NE OLURDU? (foto galeri)
KAYSERİ’DE GERÇEĞİ ARATMAYAN DEPREM TATBİKATI
Kayseri Afet ve Acil Müdürlüğü ile Kayseri Ulusal Medikal Kurtarma ekibinin birlikte gerçekleştirdiği deprem tatbikatı gerçeğini aratmadı.
Deprem tatbikatında enkazda canlı arayan ekipler, “Sesimi duyan var mı?” diye bağırdı. Ekipler ardından beton kırma makinesiyle betonları kırarak ve makasla demirleri keserek canlı aradı. Ekipler, uzun uğraşlar sonrasında enkaz altında yatan Kayseri Ulusal Medikal Kurtarma Ekibi’nden Meltem Arslankurt’a ulaştı. Arslankurt’un enkazdan çıkarılmasıyla tatbikat sona erdi.
Tatbikat sonrası açıklama yapan İl Sağlık Müdürlüğü Acil Sağlık Hizmetleri Kayseri Şubesi Müdürü Hakkı Adaş, “Ulusal Medikal kurtarma ekibi 1999 Marmara Depremi’nden sonra Sağlık Bakanlığı tarafından kurulmuş, gönüllülük esasına dayanan bir birim. Bu birimde çalışan arkadaşlarımız acil müdahale, acil tıbbi yardımı, olay yeriyle ilgili eğitimlerini tamamlayıp tamamen gönüllülük faaliyeti göstermektedir” diye konuştu.
İl Afet ve Acil Müdürlüğüyle birlikte tatbikatı gerçekleştirdiklerini belirten Adaş, “Afetin ne zaman, nerede karşımıza çıkacağı belli olmuyor. İl Afet ve Acil Müdürlüğüyle birlikte birbirimizi tanımak ve hazırlıklı olmak adına enkaz başında, enkaz güvenliği, yaralı-canlı arama ve enkaz güvenli bir şekilde terk etme konularını içeren bir eğitim tatbikatı yaptık” ifadelerini kullandı.
Ulusal Medikal Kurtarma Ekibi Üyesi Meltem Arslankurt ise, “Afet ve Acil ekipleriyle birlikte bir eğitim tatbikatı gerçekleştirdik. Ben de burada yaralı rolü üstlendim. Burada enkaza nasıl yaklaşılır, sağlıklı bir şekilde yaralı nasıl çıkarılır, bunları öğrenmek ve yeni katılımcıların tecrübelerini artırmak adına böyle bir tatbikat gerçekleştirdik” şeklinde konuştu.
Ulusal Medikal Kurtarma Ekibi Sorumlusu Nazif Gümüşsoy da, “Bugün arkadaşlarla birlikte bir tatbikat yaptık. Birlik ve beraberlik içinde nasıl çalışabiliriz, nasıl daha güzel şeyler yapabiliriz, bunu görmek istedik. Ekip olarak Kayseri’de 61 kişiyiz. Biz olası afetlere 24 saat hazırlıklıyız. Şu anda hiçbir sıkıntımız yok” dedi. (İHA)

ISTANBUL SHOPPING FESTIVAL - La société de consommation poussée à l’extrême


ISTANBUL SHOPPING FESTIVAL - La société de consommation poussée à l’extrême

Pour la 2ème année consécutive, Istanbul accueille à partir de demain samedi 9 juin le festival du shopping (Istanbul Shopping Fest). Pendant 21 jours et 21 nuits, impossible de résister à l’appel du shopping. Tous les centres commerciaux de la ville évidemment, mais aussi des centres stratégiques tels que Taksim, Nişantaşı, Şişli, Bakırköy, Fatih, Bahariye et la Bagdat Caddesi arboreront les couleurs de ce festival. L’année dernière, pas moins de 5 millions de visiteurs turcs et étrangers ont arpenté les magasins pendant ces 3 semaines, et pour cette édition les organisateurs espèrent dépasser ce chiffre. A cette occasion, de nombreux évènements sont organisés à travers toute la ville; des concerts, des spectacles de rues, des shows, des promotions spéciales jusqu’à 50% sur la nouvelle collection seront proposés, et le clou de ce festival est sans conteste l’ouverture chaque weekend d’un centre commercial sur la rive asiatique ainsi que sur la rive européenne et ce durant toute la nuit.
Meriem Draman (www.lepetitjournal.com/istanbulvendredi 8 juin 2012

TRANSES ET DESORDRES AU QUAI BRANLY

Du 8 au 17 juin 2012


En écho à l’exposition « Les Maîtres du désordre », le théâtre Claude Lévi-Strauss met en lumière certaines des traditions chamaniques et cultes de possession qui se caractérisent bien souvent par une forte dimension spectaculaire : des êtres humains, prêtres ou simples initiés, sont habités le temps d'un rituel par un esprit ou une divinité et se retrouvent à jouer un rôle dans un théâtre dont la dramaturgie, les règles et les codes varient selon les cultures.


Le musée du quai Branly met à l'honneur la tradition indienne du Sankirtana, rituel vishnouite rarement présenté à l'étranger, ainsi que la tradition soufie avec une cérémonie d'un village de Haute-Egypte.

Enfin, différentes activités sont proposées par la compagnie du chorégraphe et danseur Pedro Pauwels autour de La Danse de la sorcière de Mary Wigman et accompagnent, en accès libre, ces deux spectacles, du 15 au 17 juin 2012.


Sankirtana - chants et tambours du Manipur - Inde
Théâtre Claude Lévi-Strauss

Vendredi 8, samedi 9 juin 2012 à 20h et dimanche 10 juin à 17h

Sankirtana, ou Nata Sankirtan, est le nom d’une cérémonie rituelle particulière aux communautés hindoues du Manipur, état du Nord-est de l’Inde. Nata veut dire danse et sankirtana signifie chant en chœur de forme responsoriale. Le Sankirtan est un cercle de prières, une glorification de la déité par des chants, des danses, de la cantillation et une virtuosité dans le jeu des tambours. Dans d’autres traditions, dans d’autres cultures, c’est par la répétition du nom de la divinité que le chantre lui rend hommage et peut chercher à l’atteindre. Dans cette tradition de l’hindouisme vishnouite, c’est dans la récitation et le chant de textes qui évoquent Krishna que l’hommage est rendu.

Présent à toutes les étapes qui marquent le cycle de la vie, le rituel du Sankirtana accompagne les hommes depuis leur naissance jusqu’à la mort, ainsi que lors de toutes les fêtes religieuses, notamment celles qui ont lieu au moment des équinoxes.

Rarement présenté à l’étranger, et jamais dans sa forme intégrale, le Sankirtana est un joyau du patrimoine culturel immatériel qui subjugue par la beauté des voix et des chants, des danses et des rythmes qui s’accélèrent en crescendo, et l'expression gestuelle d’une sobriété élégante et épurée.


Au coeur du Nil Soufi - chants et danses de Haute Egypte
Théâtre Claude Lévi-Strauss

Mercredi 13 juin 2012 à 19h, jeudi 14, vendredi 15, samedi 16 juin à 20h et dimanche 17 juin à 17h

Une cérémonie dans un village de Haute-Egypte, dans la région de Louxor

Avec les munshiddin (chanteurs religieux) Sheir Hamid Hossein Ahmad, Sheikh Saoud et Sheikh Ghanan, ainsi qu’une quinzaine d’artistes.

Ce spectacle introduit par des images filmées, nous entraine dans l’univers des dhikr-s et hadra-s (les cérémonies soufies), un univers qui, grâce à la richesse des traditions populaires de Haute-Egypte, est unique dans le monde arabe.

Sur la place d'un village, une scène rudimentaire est dressée. Quelques bancs de bois accolés, des guirlandes d'ampoules en guise d'éclairage... La voix du munshid domine, sans cesse refaçonnée, privilégiant avant tout l'émotion loin du formalisme académique. Il recherche avant tout à communiquer ses sentiments, il recherche l'extase. En face, comme les guerriers d'une tribu antique, les hommes enturbannés penchent lentement leurs corps de gauche à droite, d'avant en arrière, c'est l'ébauche d'un tournoiement intense des bras et des épaules. La respiration haletante et saccadée devient anarchique et bientôt exultante et expiatoire.
Réalisation artistique : Alain Weber


Projet Sors : autour de la Danse de la sorcière de Mary Wigman
Du vendredi 15 au dimanche 17 juin 2012

Proposé par le chorégraphe Pedro Pauwels
Au programme : conférences, projections, ateliers et étapes de présentation

En accès libre, dans la limite des places disponibles

Qui sont aujourd’hui les « Maîtres du désordre » ? Comment les chorégraphes contemporains conçoivent-ils la construction d'un équilibre entre sagesse et excès, règle et transgression ? Entre forces positives du chaos dans l’intérêt du « vivre ensemble », et détournement de ces énergies troublantes, comment les chorégraphes s’emparent-ils aujourd’hui de ces questions ?

A partir de La Danse de la sorcière de Mary Wigman (1926), plusieurs chorégraphes seront invités à questionner, les rôles du rythme, de l’énergie et du geste au service d’un art de l’envoûtement, de l’enchantement et de la passion et invités à construire chorégraphiquement leur vision d’un sorcier(ère) d’aujourd’hui avec l’interprète Pedro Pauwels.


Visages de la transe - Conférence d'Annie Suquet, historienne de la danse
Salle de cinéma
Vendredi 15 juin 2012 à 18h30

De l'exploration du tournoiement hypnotique et de la chute répétée chez l'Allemande Mary Wigman, à celle de l'envoûtement rythmique chez les chorégraphes afro-américains Asadata Dafora et Katherine Dunham, les techniques de la transe constituent des jalons importants dans l'évolution des visages de la modernité en danse.


Work in progress autour du solo "Sors"

Foyer du théâtre et théâtre de verdure
Samedi 16 juin 2012 à 14h30

Autour du solo « Sors » interprété par Pedro Pauwels et chorégraphié par Carlotta Ikeda, projet de relecture(s) du solo mythique La Danse de la Sorcière (Hexentanz I, 1914, et Hexentanz II, 1926) de Mary Wigman avec Carlotta Ikeda, Pedro Pauwels, Annie Suquet et Claire Rousier.

Atelier Tours et étourdissements / chutes et pertes de conscience
par Pedro Pauwels - Atelier 1
Samedi 16 juin 2012 à 16h30

Atelier Les figures de l'obscurpar Carlotta Ikeda - Atelier 2 et 3
Samedi 16 juin 2012 à 16h30

Atelier Rythmes et transes
par Elsa Wolliaston - salle de cours 2
Samedi 16 juin 2012 à 16h30

Improvisations avec Carlotta Ikeda, Elsa Wolliaston et Pedro Pauwels
à partir des thèmes de leurs ateliers - Théâtre de verdure
Dimanche 17 juin 2012 à 18h30

Conférence Danses de possession, transe rythmique, extase : la danse moderne en quête du "primitif", par Annie Suquet - salle de cinéma
Dimanche 17 juin 2012 à 14h30

Atelier pour les enfants
par Pedro Pauwels - salle de cours 2
Dimanche 17 juin 2012 à 15h

La place de l’occultisme comme source d'inspiration chorégraphique
Projections de la Cinémathèque de la danse - salle de cinéma
Dimanche 17 juin 2012 à 15h30


TRANSES ET DESORDRES - Cycle de spectacles


Du vendredi 8 au dimanche 17 juin 2012

Plein tarif : 15 € // Tarif réduit : 10 €
Les ateliers et conférences dans le cadre du « Projet Sors » sont en accès libre, dans la limite des places disponibles.


Musée du quai Branly

37, quai Branly
75007 Paris

www.quaibranly.fr

jeudi 7 juin 2012

Programme de juin de l'IFEA


Thématique Conférences
Date de debut 2012.06.01
Date de fin 2012.06.30
Intro Retrouvez le programme du mois de juin de l'IFEA (Institut Français des Etudes Anatoliennes) sur le site internet
Description Le détail du programme sur le site internet de l'IFEA
Contact ifea@ifea-istanbul.net
Adresse Institut Français d'Études Anatoliennes
Palais de France
Nur-i Ziya Sokak, 10 P.K.54
Beyoglu Istanbul Turquie
Lien http://www.ifea-istanbul.net/index.php?option=com_gcalendar&view=gcalendar&Itemid=286&lang=fr#year=2012&month=6&day=1&view=month
Posté par margaux
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ADP et TAV


Le PDG d’Aéroports de Paris, Pierre Graff, était à Istanbul hier, quelques semaines après l’acquisition par le groupe de 38% du premier opérateur turc d’aéroports TAV. Un investissement qui s’inscrit dans la stratégie internationale de l’entreprise et propulse ADP dans le trio de tête des groupes aéroportuaires au plan mondial
Il est loin, le temps où Aéroports de Paris n’avait d’yeux que pour ses terminaux parisiens. Par l’intermédiaire de ses filiales (ADPM et ADPI), le groupe créé en 1945 par le général de Gaulle gère aujourd’hui 37 aéroports dans le monde, directement ou non, drainant près de 180 millions de passagers chaque année.
“Il n’y a pas d’urgence”, tempère le PDG, Pierre Graff. “Mais viendra un jour où nos aéroports parisiens seront pleins (…) et une entreprise qui n’a plus de croissance est une entreprise qui meurt. Il n’est donc pas idiot de chercher des relais de croissance dans des pays qui n’ont pas fini d’émerger.” Quelles cibles? Des aéroports de taille “significative” (plus de 10 millions de passagers), à forte croissance, dans des pays de l’OCDE ou des BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine).
L’aéroport Atatürk, un morceau de choix
La Turquie, dont le PIB a progressé de 8,5% l’an dernier, est un marché prometteur pour ADP, qui s’est donné pour objectif de prendre au moins trois participations significatives dans le monde à l’horizon 2015. Première étape accomplie avec l’acquisition en mai de 38% de TAV Airports, leader aéroportuaire turc, pour 874 millions de dollars (700 millions d’euros). ADP met aussi la main sur 49% de TAV Construction, pour un montant de 49 millions de dollars.
Le groupe réalise en Turquie la plus importante opération de croissance externe de son histoire. L'aéroport Atatürk d'Istanbul est le morceau de choix des dix plates-formes aéroportuaires que compte le portefeuille de TAV. Cet aéroport accueille chaque année plus de 37 millions de passagers, contre neuf millions à Ankara et trois millions à Izmir. Tous offrent un potentiel de croissance.
“Nous connaissons bien nos collègues de TAV, leur faculté de gestion, leur dynamisme, leur organisation. Il s’agit d’actifs de grande qualité, correctement tenus par des gens qui ont la même conception que nous du développement aéroportuaire. Autant dire que tout y était”, résume Pierre Graff.
“Une pépite qui vaut de l’argent”
TAV Airports a enregistré sur la période 2006-2011 une progression forte et régulière de ses principaux indicateurs financiers, et l’exercice 2012 a plutôt bien démarré. A l’issue du premier trimestre, TAV Airports a vu son trafic passagers augmenter de 35%, son chiffre d’affaires croître de 19 % à 211 millions d’euros et son excédent brut d’exploitation s’améliorer de 33 % à 47 millions d’euros.
“Nous n’achetons pas de la camelote”, rétorque Pierre Graff  à ceux qui lui reprochent d’avoir payé trop cher. “Demandez aux professionnels : ces aéroports turcs ont une des meilleures réputations dans le monde. Il s’agit donc effectivement d’une petite pépite qui vaut de l’argent (…) surtout que le taux de retour sur investissement est à deux chiffres”, argumente le PDG.
Avec ses 38% de TAV Airports, une entreprise cotée en bourse, Aéroports de Paris devient actionnaire dominant. Les turcs Akfen Holding et Tepe Insaat, qui se sont désengagés au profit d’ADP, conservent toutefois une participation de 8,1% chacun. “Nous avons souhaité qu’ils restent au capital, même modestement, car on a besoin d’alliés turcs notamment dans la perspective de 2021, quand la concession d’Istanbul arrivera à terme et qu’on aura bien l’intention de se porter candidat”, précise encore Pierre Graff.
D’ici là, ADP compte poursuivre son expansion internationale et observe qu’environ 35 aéroports dans le monde sont susceptibles d’être privatisés au cours des deux ou trois prochaines années. L’aéroport brésilien de Rio de Janeiro fait partie de ces autres “pépites” auxquelles le groupe s’intéresse de près.
Anne Andlauer (www.lepetitjournal.com/istanbul) jeudi 7 juin 2012

Rabia Çapa, la première galeriste d’art contemporain à Istanbul


Rabia Çapa ouvrait en 1976 à Istanbul la première galerie d’art contemporain. 36 ans après, la galerie Maçka Sanat Galerisi , aux choix exigeants est devenue un lieu de rendez-vous incontournable du Monde de l’Art. Atypique, elle expose les œuvres d’artistes de renommée internationale ainsi que celles d’artistes turcs majeurs. Rabia Çapa, c’est un parcours hors-norme, une femme de tête et de talent, une artiste passionnée et touchante par sa grâce


Lepetitjournal.com d’Istanbul : Pouvez-vous nous parler de vous ? De votre enfance ?
Rabia Çapa
(photo personnelle): Je suis née à Istanbul, ma famille est originaire de Rize, de la région de la Mer Noire. Nous étions 6 enfants, 4 filles et 2 garçons. Jusqu’à mes 14 ans, avec nos cousins et cousines, nous avons passé toutes nos vacances dans une grande ferme à Kayişdağ*, à Içerenköy , devenu de nos jours un quartier de la grande Istanbul, côté asiatique. J’ai donc grandi au milieu des poules, des vaches, nous avions aussi de grands champs de blé. A la mort de mon grand-père puis de ma grand-mère peu après, ma famille a préféré vendre le domaine familial. Aujourd’hui à la place de la ferme de jadis, il y a de grands immeubles qui abritent les tours d’Iş Bankası. Quand on se réunit en famille, nos discussions reviennent sans arrêt sur cette enfance en plein-air que l’on a connue et que l’on a tant aimée. Ma mère, mariée à 13 ans, ne travaillait pas, s’occupait de nous autant qu’elle pouvait mais était très occupée avec ses œuvres de charité. Mon père, lui, était armateur, tout le temps en voyage. Nous avons grandi avec des parents très jeunes, mon père dès qu’il était à la maison jouait beaucoup avec nous, au ping-pong, au volley-ball. Le reste de l’année, nous vivions à Bebek ; j’ai suivi ma scolarité secondaire au Lycée Sainte Pulchérie où j’ai appris le français.
Quelles études universitaires avez-vous faites ? D’où vous vient cette passion pour l’art ?J’ai suivi les cours de l’Académie des Beaux-arts d’Istanbul. Pendant 4 années, j’ai suivi les cours de manière très assidue dans l’atelier du célèbre Bedri Rahmi Eyüboğlu sans jamais être inscrite, seulement en candidate libre car mon père n’a jamais accepté que je suive des cours à l’Académie. Déjà toute petite, je faisais des tableaux toute seule dans ma chambre, je les exposais aux amis de passage de mes parents dans notre grand salon, et leur demandais une somme symbolique pour admirer mes œuvres. Mon futur métier de galeriste sommeillait en moi. Avec ma petite sœur Varlık, qui partageait ma passion pour le dessin, et qui était en plus collectionneuse, nous avons créé, devenues adultes notre première galerie d’art contemporain ensemble ici à Maçka : la Maçka Sanat Galerisi en 1976.
Comment l’idée d ‘ouvrir une galerie d’art contemporain vous est venue à l’esprit il y a 36 ans ?Quand mes deux petites filles ont été en âge d’aller à l’école, et que je me suis retrouvée plus ou moins esseulée, j’ai dit à mon mari qu’il fallait absolument que je travaille. Je ne me sentais plus capable d’exercer en tant qu’artiste, et Bedri Rahmi Eyüboğlu, mon ancien professeur ne m’y a pas encouragée… Je voulais à ce moment-là absolument rester dans le milieu de l’art, et j’ai eu l’idée d’ouvrir une galerie pour proposer les expositions des autres. Cette galerie est unique dans son genre, car nous sommes les seules à avoir transformé un appartement en galerie après avoir abattu presque toutes les cloisons. Il existait à cette époque déjà une galerie dans le quartier, mais la mienne est la plus ancienne aujourd’hui.
Quels sont les artistes que vous avez exposés qui vous ont fait connaître par la suite ? Tous les artistes turcs aujourd’hui très connus sont passés par ma galerie : Mehmet Güleryüz, Ömer Uluç, Komet avaient déjà une petite notoriété mais après avoir exposé ici, ont connu ensuite un très grand succès international. Chez les étrangers, j’ai exposé Daniel Buren, François Morellet, Sarkis pour les plus célèbres. Ma devise a été depuis le début de m’attacher à certains artistes, à reconnaître leur talent, à les suivre tout au long de leur carrière. Plutôt que la quantité, j’ai préféré choisir la qualité. Par nos choix exigeants, ma sœur et moi, nous avons voulu que notre galerie traverse les décennies et être aujourd’hui encore une référence dans le monde de l’art contemporain.
Pour conclure peut-être, pourquoi l’art contemporain ?A l’époque, il y a 36 ans, il n’y avait que des galeries d’art classique à Istanbul car l’art contemporain n’existait pas encore ici. Je ne voulais pas faire dans la nature morte, les paysages …et après avoir voyagé à Milan, à Paris, nous nous sommes dit ma sœur et moi que nous allions ouvrir notre première galerie d’art contemporain. Etonnamment, ma petite fille qui a une vingtaine d’années et qui vient de terminer ses études à la Sorbonne, est une passionnée d’art classique, et n’apprécie que très peu l’art contemporain. Moi, sa grand-mère, je vais tout entreprendre pour la faire changer d’avis…
Propos recueillis par Meriem Draman (www.leepetitjournal.com/istanbul) jeudi 7 juin 2012
Adresse : MAÇKA SANAT GALERISI
Eytam Caddesi 31, Maçka 80200, Istanbul
Tel : (0212) 240 80 23

mercredi 6 juin 2012

kermesses franco-turques: Annonay, Mons le saunier et Feurs

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"Une seconde femme" : histoire de famille en eaux troubles


"Une seconde femme" : histoire de famille en eaux troubles

LE MONDE | • Mis à jour le


Begüm Akkaya dans le film autrichien d'Umut Dag, "Une seconde femme" ("Kuma").
Begüm Akkaya dans le film autrichien d'Umut Dag, "Une seconde femme" ("Kuma"). | KMBO

L'Autriche a le vent en poupe, profitons-en. Après une seconde Palme d'or décernée il y a quelques jours à Cannes à Michael Haneke pour son film Amour, voici d'ores et déjà Une seconde femme, film réalisé par l'un de ses élèves à l'Académie du film de Vienne.
Umut Dag, Autrichien d'origine kurde, met en scène dans ce premier long-métrage retors et pénétrant une famille turque installée à Vienne. Il faudra toutefois un minimum de patience au spectateur pour s'apercevoir que cette oeuvre lui propose autre chose que la sempiternelle chronique d'un système patriarcal tenant sous sa coupe des figures féminines dont le martyre appelle la compassion du spectateur.
Tout commence en Turquie, par le prologue d'une cérémonie de mariage villageoise. Fatma et Mustafa, un couple vivant en exil, y marient leur fils Hasan à la prude Ayse. Bizarrerie : tout le monde paraît plus ou moins contrarié. Il faut même que Fatma morigène l'une des soeurs du marié, visiblement à deux doigts de faire un esclandre. L'explication a lieu à la séquence suivante, sans embarras de mots, mais par un système d'ellipses, de raccords et de plans tranchant dans le vif comme le film en produira beaucoup. La famille, nombreuse, rentre dans son appartement viennois, avec la jeune vierge dans ses valises. Tandis que son supposé mari s'éclipse et que sa belle-mère la prépare à la nuit de noces, le spectateur doit se rendre à l'évidence : ce n'est pas à Hasan qu'était destinée Ayse, mais bel et bien au vieux Mustafa, qui prend place à côté d'elle sur la couche nuptiale. Cut.
La raison de ce mariage de convenance émerge comme l'huile remonte à la surface de l'eau. Atteinte d'un cancer, Fatma a choisi pour son époux, mais plus encore peut-être pour sa famille qui compte encore de ses enfants, une femme suffisamment jeune. Le film prend dès lors sa vitesse de croisière, en chroniquant l'enfermement qui résulte de ce secret. Avec ses disharmonies : hostilité des belles-soeurs à l'égard de l'étrangère. Mais aussi ses bonheurs : délicatesse du vieux Mustafa à l'égard de sa deuxième épouse, complicité grandissante entre Fatma et Ayse, conformation volontaire de cette dernière au rôle que lui est dévolu par sa fausse belle-mère. On est à deux doigts de l'irénisme, et quelque chose comme un goût de moutarde commence à picoter le nez du spectateur.
Jusqu'à ce qu'un événement fasse brusquement basculer le tableau, et reconsidérer sous un autre jour ce qui nous a été jusqu'à présent montré. Cet événement (on priera les lecteurs soucieux de virginité cinématographique de suspendre ici leur lecture) est la mort inopinée de Mustafa, qui fait sortir Ayse de sa condition ectoplasmique. Libérée de son devoir matrimonial, la jeune femme s'ouvre peu à peu au désir, à l'autodétermination. Elle rompt ce faisant le pacte de la soumission et de l'enfermement clanique qui en résulte. Cette émancipation, vécue par Fatma comme une trahison, occasionne un terrifiant déchaînement de violence.
Une double préoccupation la détermine. Suggérer que la violence de l'organisation familiale n'était pas moindre avant cet éclat. Et montrer que l'aliénation dont elle procède est si ancrée dans la morale communautaire qu'elle peut conduire ses principales victimes, les femmes, à la perpétuer. Attentif à mille détails qui sonnent terriblement juste, aux antipodes du prêchi-prêcha politiquement correct, ce film est manifestement réalisé par un cinéaste qui sait de quoi il retourne, et qui ouvre avec intelligence et talent à la complexité de son sujet.
LA BANDE-ANNONCE



Film autrichien d'Umut Dag avec Nihal G. Koldas, Begüm Akkaya, Vedat Erincin, Murathan Muslu (1 h 33).
Sur le Web : www.kmbofilms.com.

suite de "Vol au dessus de la Cappadoce" par Pascal COLLIN


Vol au dessus de la Cappadoce (en cours) deesse-et-lenfant-112x150 vol-au-dessus-de-la-capadocce-100x150 dans
Trois cent mètres au dessus du sol, le bruit des flammes qui s’engouffrent dans le ventre du ballon, l’homme dans dans la nacelle actionne les gaz sans arrêt en jetant un oeil sur le sac posé près de lui. Il a l’air pressé de s’élever et de s’éloigner de l’endroit où il a profité d’un moment d’inatention des organisateurs pour décrocher l’attache au sol et enjamber la nacelle de la mongolfière prête pour un vol de découverte. Les visiteurs regardent ébahis l’ensemble s’éloigner en même temps que leur rêve de survol des « cheminées de fées »…
Trois mois plus tôt:
Le ministère des affaires culturelles est en effervésence, les préparatifs pour la grande exposition sont biens avancés mais le temps passe vite, il ne reste plus que quelques semaines avant l’évenement. Ankara a été tirée au sort parmis la liste des villes internationales retenues par le jury de l’Unesco. La capitale turque va être transformée en musée géant et le pays attend un grand nombre de visiteurs de toutes les parties du monde. Le thème cette année porte sur l’Art de la peinture et des sculptures et differents lieux de la ville seront consacrés à la présentation des oeuvres, autant à l’intérieur de certains batiments qu’à l’exterieur pour les sculptures imposantes. Des oeuvres du Métropolitan Muséum of Art de New-York, dont la statuette de la déesse Soleil d’Arinna, déesse hittite, seront prêtées au musée des Civilisations Anatoliennes dont une des salles a été spécialement aménagée pour l’occasion, seul endroit où la sécurité est assurée au maximum.
La sécurité, une difficulté pour les experts de l’état, assurer en différent lieux la préservation des oeuvres exposées. Pour cela, le ministre de la culture s’est aidé de quelques experts de New-York et a fait appel au lieutenant Yasar d’Istanbul qui possède une expérience reconnue.
Le lieutenant a choisit un bureau dans le musée comme quartier général, d’ici il pourra mener les opérations de surveillance en collaboration avec Messieurs Dale et Millan, les deux experts de New-York.
Istanbul, Marc à rendez-vous avec Sevim, ce soir il vont rendre visite à Melody la journaliste, en effet un heureux évenement se prépare…

une pub turque sexy fait le buzz sur internet


Markafoni, un site internet de vente de vêtements de marque à prix réduits du même type que Ventes Privées en France vient de se faire connaître en métropole grâce à une publicité très sexy, voire carrément osée…
La publicité mise en ligne le 26 avril dernier par Markafoni, reprise récemment par MSN France le 31 mai dernier est la publicité que vous allez voir ci-dessous. Intitulée " Bazı Aşkların Yeri Ayrıdır " ("Certains amours ont une place à part"), la version initiale est comme indiqué sur le site de la marque, passionnée et sauvage. Depuis, une version modifiée, plus light a été mise en ligne, car la version initiale a dû faire un peu trop parler dans les chaumières. En tout cas, ce que l’on peut dire pour une publicité turque, c’est qu’elle est drôlement osée, et n’a probablement pas dû avoir l’aval des autorités pour passer sur la télévision nationale. En France ou aux Etats-Unis où elle serait passée certainement inaperçue, en Turquie, cette publicité provocante révèle néanmoins une grande démonstration de liberté d’expression, rassurante, qui fait le pied de nez au régime AKP un peu trop conservateur.
Voici la vidéo :
Un défaut peut-être : la publicité est trop longue ! Et vous, qu'en pensez-vous ?
Meriem Draman (www.lepetitjournal.com/istanbul) mercredi 6 juin 2012
Pour (re)voir la video de la semaine dernière, cliquez ici

projet de téléphérique au dessus du Bosphore


La semaine dernière, le premier ministre Erdoğan annonçait la construction prochaine d’une grande mosquée sur la colline de Çamlıca (Üsküdar). L’édifice, prévu aux abords des antennes, devrait ainsi être visible depuis de nombreuses parties de la ville. Interrogé sur ce projet par des journalistes, le maire d’Istanbul, Kadir Topbaş, en a révélé un autre : la construction d’un téléphérique au dessus du Bosphore, reliant les rives asiatique et européenne. Ce projet est à l’étude depuis 4 ans selon le maire, cité par Sabah. Le câble devrait être construit au dessus du pont du Bosphore, entre Etiler (rive européenne) et Altunizade (rive asiatique). Une liaison avec Çamlıca est également évoquée. Avec une capacité de 6.000 passagers par heure, ce téléphérique pourrait attirer de nombreux touristes, à la recherche de façons encore plus originales de passer d’un continent à l’autre.
Margaux Agnès (www.lepetitjournal.com/istanbul) mercredi 6 juin 2012

mardi 5 juin 2012



LIVRES DU MONDE > BEDIN Lionel - 25 Avenue de Cran - 74000 - ANNECY (F) - TEL 06 79 69 10 14
www.livresdumonde.net - contact@livresdumonde.net -
Éditions
livresdumonde
Des livres pour dire
et voir le monde
www.livresdumonde.net
Communiqué
des éditions livresdumonde
La littérature de voyage a pour ambition de décrire le monde, ses lieux, ses habitants, ses moeurs,
ses cultures, mais aussi de parler de l’intime, de l’auteur, de soi. Tous les voyages sont différents.
Tous les voyageurs sont différents. Tous les livres des écrivains voyageurs sont différents. C’est dire
l’inépuisable source de lectures.
Les éditions livresdumonde publient
VOYAGEUSES
Partir avec…
Clara Arnaud - Anne Brunswic - Yanna Byls - Aude Créquy
Karen Guillorel - Evelyne Jousset - Gaële de La Brosse - Sylvie Lasserre -
Alice Plane - Caroline Riegel - Aude Seigne - Ingrid Thobois
*
MAI 2012
Format 14*20.5,
Broché, 192p
Prix : 16.00€ TTC
ISBN :
978-2-919117-09-3
*
Collection « Mondes
Ouverts » Essai, animée
par Franck Michel
*
Le voyage, c’est quoi, c’est comment ?
Douze auteures et voyageuses ont eu « carte blanche » pour répondre
à cette question.
Elles apportent leurs réponses dans ce livre collectif où chacune fait
part de ses expériences, raconte sa façon de partir, de voyager, de
rencontrer les paysages, les gens et leurs cultures, de revenir, et
d’écrire.
Pour vous donner envie de partir…

« Je me suis rendue compte que de mettre un pas devant l'autre ne tenait qu'à
moi, que personne ne pouvait l'empêcher et que si je rajoutais un pas au précédent,
je pouvais parcourir la planète. » Karen Guillorel
« Partir une première fois c’est ne jamais revenir. » Sylvie Lasserre
« Partir, c’est un peu comme prendre son coeur par la main, et lui présenter un
monde que l’on apprend à saluer de l’autre main. » Caroline Riegel
« En voyage, vous voyez les choses parce que vous passez devant. Chez vous, vous
pouvez passer vingt fois devant les choses sans les voir. » Aude Seigne
« La lecture, le voyage, l’écriture, c’est l’histoire d’une passion en boucle. »
Ingrid Thobois

« Mondes Ouverts » : une collection hétéroclite mais originale, peut-être celle de « l’honnête
voyageur » du XXIème siècle, qui met sur le même plan, sans notion de géographie ni de chronologie,
des récits de voyages, des reportages, des essais, des carnets, et qui a pour ambition de faire découvrir le
monde et la diversité des lieux, des hommes, des cultures.

le club des journalistes francophones de Turquie


Le Monde, Le Figaro, l’AFP, RFI, France 24… Tous les grands médias français ont des correspondants en Turquie. Mais beaucoup de journalistes turcs sont aussi francophones et ont généralement fait leurs classes dans un des nombreux lycées francophones d’Istanbul. C’est pourquoi un club des journalistes francophones a été créé. Et c’est donc autour de la langue française que se retrouvent ces journalistes, qu’ils soient français, turcs ou d’autres nationalités. L’initiative vient de Serdar Dincbayli (Fanatik), Pinar Ersoy (Milliyet), Duygu Leloğlu (atv), Laure Marchand (Le Figaro), Michel Sailhan (AFP) et Assia Shihab (France 24). Tous les deux à trois mois, le groupe se retrouve avec d’autres autour d’un repas au club des anciens de Galatasaray, à Levent. Une soirée dans une ambiance simple et sympathique.
Margaux Agnès (www.lepetitjournal.com/istanbul) vendredi 1er juin 2012

droits de l'homme: la Turquie se fait épingler par Amnesty International


Menaces sur la liberté d’expression, droits des LGBT bafoués, violences policières, loi antiterroriste abusive… Le bilan du rapport 2012 d’Amnesty International est plutôt mauvais pour la Turquie
"Nous ne voyons pas de progrès lorsque nous comparons la situation en Turquie aux années précédentes. La loi antiterroriste bloque la liberté d’expression, mais nous sommes optimistes avec la nouvelle constitution qui arrive", a déclaré au quotidien Hürriyet Daily News, le Directeur d’Amnesty Turquie, Murat Çekiç.
La liberté d’expression menacée par la loi antiterrotisteLa loi antiterroriste fait en effet l’objet d’inquiétudes sur le plan des droits de l’homme. "Un grand nombre de procès menaçant la liberté d’expression ont été intentés en vertu de la législation antiterroriste", nous dit le rapport d’Amnesty. Ces procès concernent bien souvent des personnes qui prennent position sur la situation des Kurdes en Turquie. Étudiants, journalistes, militants… se retrouvent alors au cœur de procédures judiciaires jugées "inéquitables" par Amnesty car leurs activités et prises de position relevaient du droit à la liberté d’expression. Les nouvelles restrictions sur internent sont également une menace pour cette liberté d’expression.
Le droit à l’objection de conscience au service militaire fait partie de ces sujets sensibles sur lesquels il est dangereux de s’aventurer. Ce droit n’est toujours pas reconnu en Turquie et ceux qui le défendent peuvent être inquiétés par la justice. C’est le cas d’Halil Savda, condamné à une peine de prison pour avoir soutenu le droit à l’objection de conscience. La Cour Européenne des droits de l'homme a, à ce sujet, condamné la Turquie en déclarant que le fait de refuser la possibilité de faire un service civil à la place du service militaire était contraire à la liberté de pensée et de conscience.
Femmes, enfants, réfugiés, LGBT… des groupes particulièrement vulnérablesLe rapport traite également de la situation de certains groupes de la société turque. Les enfants, parfois poursuivis dans le cadre de la lutte antiterroriste, font partie des personnes particulièrement vulnérables. Bien que le nombre d’enfants poursuivis ait diminué, certaines pratiques représentent encore une menace pour eux, comme le fait de se retrouver en garde à vue avec des adultes. Le rapport pointe également du doigt l’absence de tribunaux pour enfants dans certaines provinces.
Les réfugiés, à qui l’on refuse parfois de manière arbitraire l’accès aux procédures d’asile, représentent une autre catégorie de personnes menacées. Bien que des milliers de Syriens soient accueillis sur territoire turc, ils n’ont accès ni au Haut Commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés, ni aux procédures d’asile.
Le rapport s’arrête ensuite sur les fortes discriminations dont sont victimes les LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuels, Transgenres). Ils peuvent être la cible de citoyens mais aussi des autorités turques. Selon des groupes de défense des LGBT, huit personnes auraient été tuées en 2011 en raison de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre.
Enfin les femmes représentent une autre partie de la population particulièrement menacée. La Turquie a signé à ce sujet une Convention du Conseil de l’Europe, mais les mécanismes de protection restent encore inadéquats, et le nombre de réfugiés est insuffisant. Le document d’Amnesty rapporte le cas de réductions de peines pour des violeurs, au motif que les victimes, de très jeunes filles, étaient en fait consentantes.
Une justice parfois partiale et inéquitableLe système judiciaire turc fait également l’objet de critiques dans ce rapport. En premier lieu, les tortures et mauvais traitements qui surviennent à la fois lors de manifestations, de gardes à vue ou de détentions. Les mécanismes adéquats ne sont pas mis en place, comme par exemple un traitement séparé des plaintes contre la police ou la création d’un poste de médiateur.
Les longues détentions provisoires sont également critiquées. Pendant ces périodes, les avocats n’ont souvent pas accès au dossier de leur client et la défense est donc difficile. Le cas de l’étudiant Cihan Kırmızgül est par exemple évoqué dans le rapport.
Enfin l’impunité dont bénéficient certains agents de l’Etat est mise en cause. De nombreuses enquêtes sur des cas d’atteinte aux droits de l’homme n’aboutissent pas ou ne sont même jamais ouvertes. La mort d’une famille de sept personnes après des bombardements de l’armée turque n’a par exemple jamais fait l’objet d’une enquête. Dans un autre cas, un policier ayant violemment battu un garçon n’a écopé que d’une peine de prison avec sursis, au motif que la blessure était involontaire et en raison de "la situation dans la région".
Margaux Agnès (www.lepetitjournal.com/istanbul) mardi 5 juin 2012
Pour plus de détails sur ce rapport, voir la partie consacrée à la Turquie : http://www.amnesty.org/fr/region/turkey/report-2012

lundi 4 juin 2012

le Quartet Derviche de Bursa à LYON


    • dimanche 17 juin 2012
    • 15:0016:00
  • Le Quartet Derviche de Bursa se produit au Musée des Beaux Arts de Lyon dans le cadre du Week end Thématique "Un jour, j'achetai une momie..." le dimanche 17 Juin 2012

    Cette formation classique reduite mais néanmoins très éclectique vient de voir le jour. Elle accompagne... notre jeune virtuose du kânûn lors de ses prochains concerts prévus en France et en Europe. Son originalité réside dans un subtil mariage entre danse soufie et musique du répertoire savant turc, dans le plus grand respect des traditions. Le Quartet Sema réunit en effet autour de Savaş Özkök trois autres jeunes instrumentistes, dont Hakkı Özçimi, également danseur de sema - danse des derviches mevlevîs de Konya.

    La formation du Quartet Sema:

    Savaş Özkök: kânûn, chant

    Hakkı Özçimi: tanbur, danse sema

    Gökhan Önder: ney

    Ercüment Akalın: percussions


    Info et Réservation : 04 72 10 17 40
    Afficher la suite

20 place des Terreaux, 69001 Lyon, France

Une très grande mosquée à Istanbul



lundi 4 juin 2012, par HakanEnregistrer au format PDF
Une mosquée aux dimensions colossales, l’une des plus grandes du monde, sera construite à Istanbul et dominera de sa taille toute la ville. C’est ce qu’a annoncé le premier ministre Turc, Recep Tayyip Erdogan, expliquant que le lieu de culte serait réalisé sur la colline la plus élevée d’Istanbul, dans le quartier Camlica, sur un terrain de 15 000 m².
Cet important complexe ne comprendra pas seulement des salles pour la prière, mais aussi un grand nombre de locaux pour d’autres activités (associatives, sportives, éducatives). Elle sera construite pour être vu de tout Istanbul a précisé le premier ministre. Ce projet s’inscrit dans le cadre d’une vaste opération de rénovation de l’ensemble des édifices de culte musulman dans la ville, et pour toute la Turquie. Quatre ou cinq mosquées devraient être également construites dans l’agglomération au cours des prochaines années.
Source : La Croix

Festival d'été à VILLEFRANCHE SUR SAONE


FESTIVAL DE THEATRE A LA MAISON D'EUROPE ET D'ORIENT


  • Du 8 au 29 juin 2012 | Festival l'Europe des Théâtres | à la Maison d'Europe et d'Orient, de Paris à Montreuil, de Louviers à Prishtina, de Calais à Rabat, de Kiev à Val-de-Reuil, d'Athènes à Fontenay-sous-Bois !


    vendredi 8 juin, 20:00

VOTEZ PASCAL COLLIN !!!!




Bonjour, la sté Edilivre a organisé un concours de "j'aime" pour les auteurs. J'ai écris ce livre par amour d'Istanbul, merci de lire le résumé et si vous aimez, cliquez...


La légende du scarabée
www.edilivre.com


"Cela fait plusieurs mois maintenant que Sévim est partie et Marc n'est plus le même. Pendant ces qua..."