samedi 12 janvier 2013

Ege Denizi'nde deprem


Saroz Körfezi açıklarında 4,2 büyüklüğünde deprem meydana geldi.
12 Ocak 2013 Cumartesi 09:46
Ege Denizinde deprem
Ege denizinde Saroz Körfezi Eceabat açıklarında 4,2 büyüklüğünde deprem meydana geldi
Boğaziçi Üniversitesi Kandilli Rasathanesi ve Deprem Araştırma Enstitüsü'nden alınan bilgiye göre, Ege Denizi'nde, Kaleköy'ün 18 kilometre açıklarında saat 23.56'da 4,2 büyüklüğünde orta şiddette deprem oldu.
Depremin deniz tabanının 13 kilometre altında meydana geldiği kaydedildi.

Kurtlar yanlış köye indi


Sivas'ta köye inen kurtlar, can düşmanı Kangal köpeğinin hışmına uğradı.
12 Ocak 2013 Cumartesi 11:43 TRT
Kurtlar yanlış köye indi
Sivas'ın Divriği ilçesine inen kurtlara, can düşmanı Kangal köpeği geçit vermedi. Kurtlardan biri telef oldu.
Divriği'nin Dumluca köyü çıkışındaki Küçük Hüseyin Mahallesi Cağlı Cami mevkisinde tek katlı evde oturan berber Hasan Battal, gece saat 23.00 sıralarında ''Sultan'' adlı Kangal köpeğinin sürekli havlaması üzerine dışarı çıktığını söyledi.
Serbest bıraktığı köpeğinin, kulübesinden hızla uzaklaştığını anlatan Battal, köpeğinin bir süre sonra ağzı kan içinde eve döndüğünü belirterek, ''Kangal köpeğimi takip ettiğimde, bir kurdun başına geldik. Kalabalık kurt sürüsü olduğu söyleniyor ama Kangal köpeğim birini etkisiz hale getirmiş'' dedi.
Kurtların, evinin 100 metre ilerisine kadar indiğini ifade eden Battal, köpeğinin kurtların üstesinden geleceğine emin olduğunu, bu nedenle korkmadığını sözlerine ekledi.(AA)

AfterIsh du 11 janvier 2013

Hier 11 janvier avait lieu à la Brasserie LE CARDINAL, Bd des Italiens, une nouvelle édition du AfterIsh, formule de Afterwork mais à la manière franco-turque. Toujours aussi conviviale et efficace grâce à ses organisateurs qu'il faut remercier tant ils se donnent de mal pour l'organisation (3 semaines de travail en amont) et pour le succès de la réunion, allant vers chacun, venant s'enquérir des buts et souhaits, présentant les personnes entre elles pour faciliter le dialogue et l'échange. En ce qui nous concerne chez SINAN c'est toujours un moment agréable et fructueux qui nous ouvre de nouvelles portes et nous fait découvrir de nouveaux contacts professionnels.
A bientôt AfterIsh et encore merci !!

vendredi 11 janvier 2013

soirée franco-turque du 8 juin 2013: les réservations sont ouvertes

La grande soirée gastronomique et musicale entre Turcs et Français aura lieu le samedi 8 juin 2013 au Carré Rouge, espace PARIS EST MONTREUIL:

Le but ? se découvrir, s'apprécier autour de la gastronomie des deux pays et de leurs musiques traditionnelles, modernes ou jazz manouche, rire, chanter et danser ..... plusieurs invités surprise (écrivains, artistes) 

Adresse: CARRE ROUGE, espace PARIS EST MONTREUIL 128, rue de Paris 93100 MONTREUIL

tarif 62 €, 
nombre de places limité à 220 personnes. 

Organisateur "SINAN"
Réservations et renseignements: 06.21.58.00.02 ou chantal.aiou@neuf.fr
Photo: Aznavour traiteur

Aydın'da tarihi eser operasyonu

Polisin Didim'de durdurup aradığı araçtan çok sayıda tarihi eser çıktı.

Orhan Pamuk en lice pour le Man Asian Literary Price


orhan-pamuk-en-lice-pour-le-man-asian-literary-price

L'écrivain turc Orhan Pamuk, prix Nobel de littérature 2006, figure dans la première sélection du plus prestigieux prix littéraire en Asie, le Man Asian Literary Prize.
« La Maison du silence », publiée par Gallimard en 1988 dans sa traduction française, vaut finalement à son auteur une première nomination pour ce prix doté de 30.000 dollars (environ 23.000 euros), disputé cette année par 15 auteurs allant des confins turcs de l'Asie à l'archipel japonais.
Orhan Pamuk est l'auteur turc dont les ouvrages sont les plus vendus dans le monde, traduits dans plus de 60 langues. Il a été aussi en 2006 le premier Turc à être couronné par le prix Nobel de littérature.
Nombre de ses romans sont devenus des classiques: « Mon nom est Rouge », « Le Livre Noir », « D'autres couleurs », « Neige » (prix Médicis étranger 2005), « Le Musée de l'innocence ».

Date de l'information : 10 Janvier 2013 11:40

Un village vieux de 8.500 ans sous Istanbul


Des archéologues ont mis à jour les fondations d'un village daté de l’ère néolithique dans le district de Pendik, sur la rive asiatique d’Istanbul. Lors des travaux d'agrandissement du chemin de fer entre les districts de Gebze et Pendik, dans le cadre du projet de voie ferrée Marmaray reliant les rives européenne et anatolienne de la ville, des tombes et des maisons vieilles de 8.500 ans ont été découvertes, ont rapporté hier la chaine CNN Türk et le quotidien Radikal.
De nombreux objets de la vie quotidienne tels que des haches, des aiguilles et des cuillères en os ont été trouvés sur place, ainsi que des pots datant de l'empire byzantin. Des coquillages de fruits de mer apportent aussi des indices sur l'alimentation des habitants de l’ère néolithique. Le village serait vraisemblablement situé à 50 mètres de la côte et à environ 1.500 mètres du centre du district. Les chercheurs du Musée archéologique d'Istanbul vont tenter d'établir le lien entre ces découvertes et celles du site de Yenikapı, sur lesquel lepetitjournal.com d’Istanbul s’était rendu l’an dernier.
Marlène Alibert (www.lepetitjournal.com/istanbul) vendredi 11 janvier 2013

255 meurtres à Istanbul l’an dernier


DEUX FOIS MOINS QU’EN 2009 – 

Le quotidien Radikal a révélé hier, citant un haut responsable de la police d’Istanbul, que 255 meurtres ont été commis dans la mégapole l’an dernier, contre 546 recensés en 2009. Les forces de l’ordre annoncent aussi, sur la même période, une baisse de 73% des vols de voiture ou encore une diminution de 65% des actes de pickpockets.
Le responsable explique cette criminalité en baisse par une réorganisation des équipes opérée il y a trois ans, aboutissant à une surveillance 7j/7 et 24h/24 d’Istanbul, délimitée en 29 zones.
Près de 40.000 policiers sont affectés à la protection des Stambouliotes, parmi lesquels environ 10% de femmes. Radikal révèle également qu’une centaine de policiers en civil patrouillent en permanence dans la péninsule historique pour protéger les touristes – entre autres – des vols et autres agressions.
Anne Andlauer (www.lepetitjournal.com/istanbul) vendredi 11 janvier 2013

PAR QUI ? POURQUOI ?– Les réactions au meurtre de trois activistes kurdes à Paris


Le meurtre par balle de trois femmes dans les bureaux du Centre d'information kurde de Paris a dominé l’actualité hier, en France et en Turquie. Ce triple assassinat intervient au moment où le PKK et le gouvernement turc discutent d’une éventuelle issue à près de 30 ans d’hostilités. Depuis hier, chacun y va de son interprétation, même si beaucoup refusent d’y voir une simple coïncidence.
L’une des victimes, Sakine Cansız, avait contribué à la fondation du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) en 1978 aux côtés d’Abdullah Öcalan, son leader historique emprisonné depuis 14 ans. Fidan Doğan est présentée dans les médias comme la représentante en France du Congrès national du Kurdistan (KNK) et Leyla Söylemez comme une jeune activiste kurde. Leurs corps ont été retrouvés dans la nuit de mercredi à jeudi au Centre d'information kurde, dans le 10ème arrondissement de Paris.
“Les brigades de l'anti-terrorisme et de l'anti-criminalité sont mobilisées pour faire toute la lumière sur cet acte tout à fait insupportable”, a assuré Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, lors d’une visite au centre hier. Les activistes ont “sans doute été exécutées”, a commenté le ministre alors que la préfecture de police, citée par les agences, se montrait très prudente : “Il s'agit d'un triple homicide, c'est certain, mais il est beaucoup trop tôt pour dire s'il s'agit d'un éventuel règlement de comptes lié à la mouvance kurde ou bien s'il s'agit de tout autre chose." Le président François Hollande a qualifié d"horrible" l'assassinat des trois femmes, précisant avoir connu l'une d'elles.
Tentative de “sabotage”
Par qui et surtout pourquoi Sakine Cansız, Fidan Doğan et Leyla Söylemez ont-elles été assassinées ? Alors que l’enquête en France ne fait que commencer, responsables turcs mais aussi représentants politiques et associatifs kurdes pointent du doigt le même contexte, sans en tirer toutefois les mêmes conclusions. Beaucoup évoquent une tentative de “sabotage” du dialogue amorcé entre le gouvernement turc et le chef du PKK pour un règlement pacifique de la question kurde. Malgré les pourparlers en cours, lundi soir encore, quatorze combattants du PKK et un soldat turc avaient trouvé la mort dans des combats dans la province de Hakkari.
“Cela peut être un règlement de comptes interne”, s’est avancé Recep Tayyip Erdoğan, réagissant au meurtre des trois militantes kurdes. Le Premier ministre a aussi évoqué “une provocation de grande envergure” de la part de “ceux qui ne souhaitent pas” voir émerger une solution au conflit. Plus tôt dans la journée, le vice-président du Parti de la justice et du développement (AKP), Hüseyin Çelik, avait estimé qu’au vu du “mode opératoire, cela ressemble davantage à un règlement de comptes au sein du PKK.”
Des conclusions rejetées par le co-président du BDP (Parti de la paix et de la démocratie, pro-kurde), Selahattin Demirtaş. “Comment savoir si ceux qui font ces déclarations n’ont pas eux-mêmes planifié ce massacre”, écrit-il sur son compte twitter, accusant l’AKP de vouloir “clore le sujet” en attribuant ces trois morts à la dissidence – bien réelle – au sein du PKK. Selahattin Demirtaş et Gültan Kışanak, l'autre présidente du parti, ont annoncé se rendre en France pour assister aux obsèques.
“Un dangereux précédent”
Les pistes sont donc plurielles et la multiplication des déclarations, côté turc, contribue à la confusion. Parmi les quelque 200 personnes rassemblées hier devant le Centre d'information kurde à Paris, des manifestants accusaient le gouvernement turc, ses services secrets ou ceux d’autres pays. Pour eux, aucun doute, il s'agit d'un “assassinat politique”.
“Je ne pense pas qu’il s’agisse d’un acte commis par l’Etat profond”, estimait pourtant le journaliste Taha Akyol sur la chaîne de télévision CNN Türk, citant plutôt une exécution en interne ou encore, sans trop sembler y croire, “un acte planifié depuis des mois”, sans rapport avec le processus de négociations en cours.
“Il est clair qu’il s’agit d’un complot visant directement Öcalan, quel qu’en soit l’auteur”, interprétait quant à lui le journaliste Avni Özgürel, du quotidien Radikal. Kadri Gürsel dans Milliyet pense lui aussi que quel que soit l’auteur ou les auteurs, “le but de ces meurtres est de remettre en cause les négociations dans l’opinion publique kurde et les rangs du mouvement kurde, de créer une insécurité, de compliquer le processus et au final de porter un coup aux espoirs de paix.”
Dans un communiqué, l’Institut kurde de Paris appelle les autorités françaises à faire la lumière sur ce triple meurtre “qui crée un dangereux précédent et qui inquiète fortement la communauté kurde de France”. Des associations kurdes ont lancé un appel à manifester samedi à midi, place de la Bastille à Paris.
Anne Andlauer (www.lepetitjournal.com/istanbul) vendredi 11 janvier 2013

jeudi 10 janvier 2013

communiqué de presse de l'institut kurde de Paris


Communiqué de Presse


Assassinat de trois militantes kurdes à Paris
MAIS PAS À L'INSTITUT KURDE

Trois militantes kurdes ont été assassinées mercredi 9 janvier à Paris dans les locaux du Centre d’Information kurde dans des circonstances encore mal élucidées.
Parmi elles, Sakine Cansiz, figure connue du PKK qui avait passé de longues années dans les prisons turques.
Ce triple assassinat qui intervient dans le contexte d’un début de dialogue entre le gouvernement turc et le chef du PKK Abdullah Ocalan pour un règlement pacifique de la question kurde a endeuillé la communauté kurde.
Par un manque de rigueur consternant l'Agence France-Presse a, dans ses premières dépêches, indiqué que ces assassinats ont eu lieu dans les locaux de l’Institut kurde. Ces dépêches ont été reprises par les radios et les chaines d’information continues, en France mais aussi en Turquie et dans d’autres pays, suscitant une vive émotion parmi les amis de l’Institut qui par centaines nous appellent et nous adressent des messages.
Nous sommes intervenus auprès de la direction de l'AFP qui a présenté ses excuses et corrigé sa bavure à partir de 8h.
Nous remercions tous nos amis de leur solidarité et appelons les autorités françaises à tout mettre en œuvre pour faire la lumière sur l’horrible tuerie perpétrée à Paris qui créé un dangereux précédent et qui inquiète fortement la communauté kurde de France.
Institut kurde de Paris

Ce soit au KIBELE: musique ottomane

James Serre a partagé un lien (Shams, Neyzen | Wix.com) : « Concert de musique savante ottomane le 10 janvier 2013 "Le Kibélé - Bar Restaurant turc - Théâtre - Spectacle" à 21h30 au 12 rue de L'échiquier 75010 Paris Ney: James Serre Tanbur: Arash Mohafezwww.wix.com/jamesserre/turkishneywww.kibele.fr

Appel à soutien pour RADIO MADE IN TURKEY


TURQUIE: URGENCE - Solidarité avec les Syriens



Alors que les réfugiés syriens font face depuis plusieurs semaines à un hiver rigoureux, des volontaires français d'Istanbul organisent une grande collecte de vêtements et de dons pour leur venir en aide, via l'Union française, du 7 au 12 janvier 2013.
A travers des relais français à la frontière, les dons iront à un camp de déplacés syriens situé à cinq kilomètres de la frontière turque. Plus de 4.000 Syriens vivent dans le camp de Qah, qui ne dispose pas d'électricité ni de système de chauffage, alors que les températures sont souvent négatives la nuit. Pour aider ces familles, privées de tout, voici les articles que vous pouvez donner :
- Vêtements Homme/Femme/Enfant/Nourrisson
- Chaussures
- Couvertures
- Jouets
L'union française met à disposition deux points de collecte:

A Cihangir
Türk Gücü Sokak 33 A
(derrière la mosquée de Firuz Ağa)
Horaires: 9.00 / 16.30 lundi-vendredi - Samedi 12.00 /16.30
A Tarabya
Ahi çelebi sokak, n°50, Tarabya
Téléphone : 0212 262 02 55
Horaires: 10.00 / 18.00
Pour les dons d'argent, une boîte sera à votre disposition à Cihangir.
Contacts: Zeynep Morali au 05363551291, Sandrine Pradère au 0535 025 09 20, Naïla Banian au 0538 051 23 01
Istanbul (www.lepetitjournal.com/istanbul) mercredi 9 janvier 2013

The caravan moves on: très beau libre sur les YÖRÜKS


Three weeks with the Yörük nomads

William Armstrong - williamarmstrong@hdn.com.tr

‘The Caravan Moves On: Three Weeks among Turkish Nomads’ by Irfan Orga
Eland UK, 2002, 38TL, pp 176


Irfan Orga’s travel memoir, “The Caravan Moves On…” opens with the author in a crowded boat on the Aegean Sea approaching the city of Izmir. It is the early 1950s and he is returning to Turkey from exile in London. Izmir is a paradigm of the new republican order: full of the new bourgeoisie, fast-developing, eyes fixed on the future.

From Izmir, Orga travels by train into Anatolia, and gives us a vivid snapshot of this particular early republican moment. He passes through the old Selçuk heartland and then begins his ascent in the Taurus Mountains with a small group of companions. There has been a drought; the grape harvest is struggling; the village institutes are still operating in rural areas; the recent language reforms are still sinking their teeth in. However, as he heads further up the mountains, these temporal details begin to melt away. The group follows the camel trails of the nomadic Yörük tribes on its climb. They stop to rest at a semi-nomadic village, but are pelted with stones and forced to flee their hosts. “Dusk was falling and civilisation was a long way off. Up here in this wilderness, the laws made in Ankara didn’t apply,” Orga writes.

When they finally reach the nomadic Yörüks, the contrast with Izmir could not be greater. They discover a way of life unchanged for hundreds of years, apparently existing outside of history. The Yörüks “were virtually untouched by the advent of the Ottoman Empire or by its fall and the rise of the new Turkey. They are still in the ancestral stage and speak of heroes dead a thousand years or more as if they are still alive.”

Orga spends three weeks as a guest at the Yörük camp high in the mountains. It’s a place of wild legends, ancient tribal conflicts, honor lost and regained, camels used as marriage dowries, blood feuds that last generations. He vividly describes primitive medical methods and religious beliefs that mix tribal shamanism with only a thin overlay of Islam, full of esoteric spells and enchantments. Initially, he is not immune to the easy myth of the noble savage. The nomadic life appeals to Orga for its timelessness, its “wild liberty”:
“I suppose the imagination is always stirred at the sight of free men, people to whom time and earth satellites means nothing ... Their picturesque rags took one back to a braver era; so must one’s ancestors have looked in the time of the Moguls. They might have been beings from another world. Indeed, their world was, in physical and spiritual terms, so far away from our own that here on Karadağ it must have been us who seemed the apparitions.”
With the Yörüks, Orga’s life in London and Izmir, with all its petty concerns, feels somehow inadequate. He envies these “primitives” for the apparent contentment they feel with their lot, contentment unavailable to the sophisticated modern city dweller:
“Happiness is the inheritance of the nomad, whose infinity lies about him unquestioned. Freedom is his secret. Even the limitations of the small part of the world with which he comes into contact do not harass him ... He is built to a pattern of inevitability and accepts all things as they come to him without question, with forbearance and humour, and with the resignation that is born of simplicity.”
If Orga initially sees the nomads as a variation of John Stewart Mill’s “happy pigs,” then he himself is certainly a kind of “sad Socrates.” A melancholy soul, I don’t think he cracks a joke throughout the entire book.
After more time spent with the Yörüks, however, a hardening in his attitude becomes apparent, and he begins to find it impossible to romanticize his hosts:
“They are hidebound by taboos. They have freedom and yet no freedom, for their tribal etiquette is often more frightening than if they lived in chains. The very simplicity of their lives proves shocking after a time ... Our struggle to understand them, to make something grand and heroic out of them, linking them to Primitive Man, left them amused, bewildered, perhaps a little disdainful. ”
Orga experiences no great liberating epiphany in the mountains. He simply becomes aware of an enormous and unbridgeable chasm that exists between himself and the Yörüks. As he observes towards the end of the book: “Their simplicity and their cruelty defeated me. At no point did our minds meet ... We remained strangers.” Like Coleridge’s ancient mariner, he can only return from the whole encounter a sadder, wiser man.

ISTANBUL:SPRINT FINAL POUR LES JO 2020


SPRINT FINAL POUR LES JO 2020 – Forces et faiblesses de la candidature d’Istanbul

Istanbul, Tokyo et Madrid sont donc les trois villes candidates pour l'organisation des Jeux olympiques et paralympiques de l’été 2020. Le gouvernement turc fait de la victoire d’Istanbul une priorité nationale, d’autant que la mégapole a déjà essuyé quatre échecs. La ville "sera prête comme elle ne l'a jamais été", a prévenu le Premier ministre. Istanbul présente en effet de solides arguments.
Les trois villes candidates ont officiellement remis lundi leur dossier au Comité international olympique (CIO). La commission d'évaluation, présidée par le Britannique Craig Reedie, vice-président du CIO, va maintenant les étudier avant de procéder aux traditionnelles visites de terrain. Cette commission est composée de membres représentant les fédérations internationales et les comités nationaux olympiques, de membres du CIO, de représentants de la commission des athlètes et du Comité international paralympique (IPC), ainsi que d'experts dans divers domaines.
Le logo officiel d'Istanbul 2020
Les transports : le point-clé
Les critères étudiés par le CIO comprennent notamment la qualité des sites proposés, l'hébergement des athlètes et des spectateurs, les infrastructures de transports ou encore la promotion des valeurs olympiques. Depuis ses premières candidatures, la Turquie s´est dotée de nombreux équipements sportifs, comme en témoigne la construction en 2001 du stade olympique Atatürk, à quelques kilomètres d'Istanbul. Enceinte de 80.000 places dont 50.000 couvertes, elle pourrait devenir le centre névralgique de toute une cité olympique. Mais la clé pour Istanbul se situera principalement sur le dossier des transports. Ville parmi les plus embouteillées d'Europe, elle aura tout intérêt à présenter de solides garanties quant aux déplacements des athlètes et des spectateurs pour espérer l'emporter.
Hasan Arat, vice-président du Comité national olympique turc (CNOT), répond à ces inquiétudes dans une récente interview au quotidien Le Temps. “Depuis 2010 et jusqu’en 2023, la mairie d’Istanbul investit 1,2 milliard de dollars par année dans l’amélioration du réseau routier; en sus, un 3e pont sur le Bosphore sera terminé en 2015, année où l’on inaugurera également notre nouvel aéroport, le 3e mondial en matière de trafic passagers; et dès cet automne, un RER circulera sous le Bosphore, joignant ses deux rives”, explique cet ancien basketteur de haut niveau. “Tout est en place, le programme de construction des sites olympiques aussi. Nous avons l’argent, le savoir-faire et la garantie financière de l’Etat central.”
Croissance et opportunités
Hasan Arat cite ainsi un budget “d’environ 5 milliards de dollars, pour les sites sportifs uniquement” avant de rappeler les bons chiffres de l’économie turque ces dernières années. “En pleine crise économique internationale, nous offrons une réelle opportunité au CIO”, affirme-t-il. Sous-entendu : Madrid et Tokyo ne peuvent pas en dire autant.
La Turquie a certes déjà organisé beaucoup de grandes compétitions sportives internationales ces dernières années comme le grand prix de F1, les championnats du monde de basket ou la finale de la ligue des Champions de football. Mais elle n'a jamais connu les honneurs olympiques. Le CIO a prévu de rendre son verdict le 7 septembre 2013, à Buenos Aires.
Tanguy Quidelleur (www.lepetitjournal.com/istanbul) jeudi 10 janvier 2013

Avoir fait l’effort d’apprendre le français est un critère d’embauche


UNIVERSITÉ DE GALASATARAY - Jean-Jacques Paul, recteur adjoint: “Avoir fait l’effort d’apprendre le français est un critère d’embauche”

Quelques mois après sa prise de fonction, le 25 septembre dernier, le recteur adjoint de l’université de Galatasaray a reçu lepetitjournal.com d’Istanbul. Jean-Jacques Paul évoque ses priorités pour l’établissement, notamment la recherche. Il compare sa mission à celle qu’il assumait à Phnom Penh, où il était chef de projet économie-gestion à l’Université royale de Droit et de Sciences économiques. Il livre enfin ses impressions sur sa nouvelle ville d’accueil.
Lepetitjournal.com d’Istanbul : Quel a été votre parcours jusqu’au poste que vous occupez actuellement ?
Jean-Jacques Paul
(photo MD): Je suis professeur d’économie. Je viens de Dijon, de l’université de Bourgogne. Avant de partir à Phnom Penh, j’étais le doyen de la faculté de sciences économiques et de gestion. J’avais dirigé un laboratoire CNRS en économie et sociologie de l’éducation. J’ai passé quatre ans et demi à Phnom Penh. Je connaissais déjà l’Asie du sud-est, j’avais conduit des recherches au Vietnam, au Laos. J’avais aussi travaillé en Afrique francophone, en Afrique lusophone, souvent sur des missions d’un mois dans mon domaine de recherches. Bien avant cela, à la fin des années 80, j’avais connu une autre expatriation au Brésil, où j’étais resté trois années. Phnom Penh a donc été ma deuxième expatriation et j’avoue que l’expérience m’a plu, d’où mon envie de la reproduire. Quand j’ai appris que le poste de recteur adjoint de l’université de Galatasaray était vacant, j’ai candidaté et j’ai été sélectionné par le ministère des Affaires étrangères.
Connaissiez-vous déjà Istanbul et son université de Galatasaray ?
Je connaissais un peu Istanbul pour y être venu quatre jours comme touriste avec mon épouse en 1996. Je connaissais bien sûr Galatasaray de réputation. Je suis entré en contact avec Hélène Zajdela (recteur adjointe de 2007 à 2012, ndlr) dès que j’ai su que le poste se libérait. J’avais envie de connaître une nouvelle expérience dans le prolongement de la précédente, dans un pays qui m’intéressait beaucoup et dans un contexte géopolitique assez passionnant. Sans vouloir dire des banalités, il est vrai que la situation d’Istanbul, à la rencontre de différents mondes, était intéressante. Je garde encore un peu un pied en Asie.
Vous connaissiez l’université de Galatasaray “de réputation”, dites-vous. Pourriez-vous préciser ?
La réputation de Galatasaray est telle qu’elle attire de nombreux étudiants de toute la Turquie dans ses différents départements. La qualité des étudiants participe évidemment à celle de l’établissement. C’est un cercle vertueux. C’est certes plus ou moins vrai selon les départements. Si l’on en croit les rangs de classements des candidats au concours national, la faculté de droit, par exemple, fait partie des départements les plus prestigieux, tout comme la faculté de communication. Je n’ai pas encore le recul suffisant pour juger de la qualité de l’ensemble des étudiants, y compris en tant qu’enseignant puisque je donne un cours hebdomadaire à la faculté d’économie en quatrième année. Comme ils proviennent de la réforme de l’enseignement du français, nous avons mis deux promotions ensemble donc j’ai environ 70 étudiants alors que l’une des caractéristiques de Galatasaray – et c’est l’avantage d’être une université francophone – ce sont ses petits groupes de 25 ou 30 étudiants. Et puis cet établissement est plutôt un lieu stimulant, intellectuellement et géographiquement. Les enseignants français qui arrivent ici sont toujours enchantés par le lieu, ce qui participe aussi de l’attractivité de l’université – il ne faut pas s’en cacher.
Combien d’élèves avez-vous accueillis à la rentrée 2012 ?
Nous avons accueilli 400 nouveaux étudiants de licence à la rentrée 2012-2013 et comptons au total 3.790 étudiants, dont 1.250 en master et 174 en doctorat. C’est environ 1.700 de plus qu’il y a dix ans. Les cours sont assurés cette année par 231 enseignants sous contrat turc et par 40 enseignants sous contrat français.
Quelle continuité voyez-vous entre votre expérience au Cambodge et celle que vous entamez en Turquie ?
L’enjeu, pour moi, reste le même : promouvoir le français dans des pays qui ne sont pas ou plus francophones. L’anglais s’est affirmé, notamment pour les universitaires en termes de recherches. L’essentiel de la communication scientifique se fait en anglais. Individuellement ou en tant qu’université, vous êtes de plus en plus évalués sur votre production de recherches et si vous voulez publier dans des revues internationalement reconnues, il faut publier en anglais. Il y a donc des tiraillements y compris, je le vois bien, pour nos enseignants turcs qui ont fait leurs études en France, leur doctorat en France et reviennent enseigner. Mais lorsqu’il s’agira pour eux de développer des relations scientifiques, d’être présents dans des réseaux, ils utiliseront l’anglais comme nous l’utilisons nous-mêmes. Cela place un universitaire qui n’est pas francophone d’origine dans une position difficile. L’objectif ici, comme c’était le cas au Cambodge, est de produire des étudiants trilingues, qui doivent évidemment parler anglais et pour lesquels le français sera l’élément distinctif pour faciliter leur insertion professionnelle. Car du point de vue d’une entreprise, avoir fait l’effort d’apprendre le français dans un pays non francophone est le signe d’une motivation, d’une implication et c’est vraiment un critère d’embauche, au-delà du français en tant que tel.
Quels seront vos priorités à ce poste ?
J’arrive avec une certaine modestie. Je suis en poste depuis un peu plus de trois mois, je ne prétends pas connaître la Turquie et le contexte turc. Je regarde le travail réalisé par mes prédécesseurs. Ma volonté est de contribuer à développer l’université, d’en faire un établissement qui pourra continuer à concurrencer de grandes universités turques. En termes numériques, Galatasaray est une petite université, un petit îlot dans le paysage universitaire turc. L’avenir de Galatasaray se fera à travers l’excellence, qui doit s’appuyer sur l’excellence des institutions françaises. La particularité de Galatasaray est d’être portée par un consortium d’universités françaises. L’un de nos enjeux est donc la recherche. Nous n’avons pas assez de projets de recherches menés conjointement avec des universités françaises, alors que Galatasaray pourrait être un partenaire solide pour des montages de projets européens, par exemple. Or, pour l’instant, nous n’en avons pratiquement pas, certainement parce que nous sommes “petits” donc moins visibles, que nous n’avons pas d’économies d’échelle, moins de personnel pour se dédier au montage de ce genre d’activités. Et aussi, peut-être, une méconnaissance de la part de certains collègues français des possibilités de collaborations qui pourraient s’offrir à Galatasaray. Ce sera donc l’un de mes principaux dossiers. Nous cherchons également à renforcer nos liens avec les universités françaises du consortium d’appui à l’Université, avec la mise en place de diplômes français délocalisés à Galatasaray et de doubles diplômes. De même, nous souhaitons entretenir des liens dynamiques avec les entreprises, notamment françaises, en leur proposant de conduire des études en partenariat.
Pour finir, puisque vous venez d’arriver, quelles sont vos premières impressions sur Istanbul ?
A Istanbul, j’ai retrouvé Sao Paulo. Non pas, évidemment, quand je me promène sur la Corne d’Or mais dans sa banlieue, avec ses gratte-ciel, ses centres commerciaux. Ce n’est pas l’image que je me faisais d’Istanbul. Quand nous sommes arrivés du Cambodge cet été, nous avons été effarés car les Cambodgiens sont des gens très calmes, très “zen”. Ils conduisent lentement, pas très bien mais lentement. On ne s’invective jamais, on ne klaxonne jamais. Ce n’est pas le cas ici ! Les gens sont plus rapides, plus énervés… C’est sans doute le point qui m’a le plus surpris en arrivant. Mais les Turcs, évidemment, gagnent à être connus. Ils sont chaleureux, accueillants, attachants comme les Cambodgiens le sont.
Propos recueillis par Meriem Draman et Anne Andlauer (www.lepetitjournal.com/istanbul) jeudi 10 janvier 2013

mercredi 9 janvier 2013

TURQUIE: 133 élèves… pour une seule classe !


Publiée début janvier par l’agence de presse Doğan (DHA), très commentée sur la page Facebook du petitjournal.com d’Istanbul, la vidéo de la semaine montre les conditions déplorables d’enseignement dans une école de l’Est de la Turquie.
Cent trente-trois élèves dans une seule classe. C’est la triste réalité de l’école élémentaire du village de Çıkrık, dans la province de Şanlıurfa.
Si, dans la majorité des écoles turques, on ne compte pas plus de 30 à 35 enfants par classe, ici les deux classes de première section abritent respectivement 130 et 133 élèves. Les écoliers sont donc contraints de partager un pupitre à quatre ou cinq. Un père se plaint : “Il n’y a même pas assez de sièges et nos enfants sont obligés de s’asseoir sur leurs sacs.”
Selon la dépêche d’agence qui accompagne la vidéo, cette surpopulation découlerait d’un manque de salles dans l’école, qui accueille au total 1.285 enfants venus des nombreux villages alentours.
D’après Hamza Erkal, le gouverneur du district de Siverek, la situation pourrait toutefois s’améliorer puisque une nouvelle école doit voir le jour l’année prochaine. En attendant, des préfabriqués seront mis à disposition des élèves et de leurs courageux professeurs.

Fanny Fontan (http://www.lepetitjournal.com/istanbul) mercredi 9 janvier 2013

mardi 8 janvier 2013

Un séisme de magnitude 6,2 secoue l'ouest de la Turquie


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Un séisme de magnitude 6,2 s'est produit en Egée, dans l'ouest de la Turquie.
Un séisme de magnitude 6,2 sur l'échelle de Richter s'est produit mardi 8 janvier au large de la mer Egée, dans l'ouest de la Turquie, dont les secousses ont été fortement ressenties à Istanbul, a rapporté l'Observatoire sismologique de Kandilli faisant partie de l'Université de Bogaziçi.
Le tremblement de terre s'est produit vers 16H15 heure locale, a déclaré de son côté la direction de gestion des catastrophes et des situations d'urgence auprès de la primature.
L'épicentre du séisme était de 50 kilomètres de Bozcaada, a indiqué l'Observatoire sismologique de Kandilli faisant partie de l'Université de Bogaziçi.
Le séisme a eu lieu à une profondeur de 8,4 kilomètres de la mer Egée.
Le séisme a été ressenti à Istanbul, dans les provinces d'Egée.

Date de l'information : 08 Janvier 2013 17:30
TRT
Mise à jour à : 08 Janvier 2013 19:07

Ege ve Marmara'da deprem: tremblement de terre en mer Egée et Marmara


Ege Denizi'nde Bozcaada açıklarında 6,2 büyüklüğünde deprem oldu.

08 Ocak 2013 Salı 18:29
  • Ege ve Marmarada deprem

İLGİLİ HABERLER

Deprem, Ege ve Marmara bölgesinde geniş bir alanı etkiledi.
Boğaziçi Üniversitesi Kandilli Rasathanesi'nden yapılan açıklamaya göre, deprem, Ege Denizi’nin 9 kilometre derinliğinde saat 16.16’da meydana geldi.
Ege ve Marmara bölgelerinde bir çok ili etkileyen deprem Çanakkale'den İzmir'e kadar kıyı kesimindeki illerde güçlü olarak hissedildi.
Paniğe sebep olan depremde herhangi bir hasar ve yaralanma meydana gelmedi.
Deprem, Çanakkale, İstanbul, Edirne, Tekirdağ, İzmir, Bursa, Eskişehir, Kütahya ve Bilecik illerini etkiledi.
Çanakkale’de vatandaşlar sarsıntının ardından ev ve işyerlerini terk ederek sokaklara ve açık alanlara çıktı.
Polis ve sağlık ekipleri, telsiz anonsları ile tüm birimlerle irtibata geçip, herhangi bir olumsuzluk olmadığını tespite çalıştı.
Deprem Yunanistan'ın başkenti Atina ve Batı Trakya'da da hissedildi.
Uzmanlar, depremin artçılarının 4.5 ile 5 arasında olabileceğini belirtiyor.

Soirée franco-turque du 8 juin 2013, les réservations sont ouvertes

La grande soirée gastronomique et musicale entre Turcs et Français aura lieu le samedi 8 juin 2013 au Carré Rouge, espace PARIS EST MONTREUIL:

Le but ? se découvrir, s'apprécier autour de la gastronomie des deux pays et de leurs musiques traditionnelles, modernes ou jazz manouche, rire, chanter et danser ..... plusieurs invités surprise (écrivains, artistes) 

Adresse: CARRE ROUGE, espace PARIS EST MONTREUIL 128, rue de Paris 93100 MONTREUIL

tarif 62 €, 
nombre de places limité à 220 personnes. 

Organisateur "SINAN"
Réservations et renseignements: 06.21.58.00.02 ou chantal.aiou@neuf.fr
Photo: Aznavour traiteur

PARIS:10 janvier au KIBELE:musique savante ottomane

Concert de musique savante ottomane "Le Kibélé - Bar Restaurant turc - Théâtre - Spectacle" à 21h30 au 12 rue de L'échiquier 75010 Paris Ney: James Serre Tanbur: Arash Mohafez
www.wix.com/jamesserre/turkishney »
Le Kib�lé - Bar Restaurant turc - Théâtre - Spectacle
www.kibele.fr
Restaurant turc

Oups ! L’austérité était une erreur (FMI)


Arretsurimages.net"Daniel Schneidermann | Fondateur d'@rrêt sur images

Désolé d’interrompre la conversation nationale sur Depardieu, nouvelle idole des jeunes en Mordovie, mais je voudrais juste vous signaler une petite nouvelle, qui vous a peut-être échappé : l’austérité, c’était une erreur. Oui, je sais, rien de neuf, on n’arrête pas de le répéter ici, notamment dans les chroniques de l’éconaute. Mais cette fois, ce n’est pas seulement nous qui le disons.
Ce sont deux types nommés Olivier Blanchard et Daniel Leigh. Vous ne les connaissez pas, je sais bien. Et vous avez des excuses : ils n’ont jamais revêtu la blouse nationale de Mordovie, et ne se sont pas prononcés, à ma connaissance, sur l’euthanasie des éléphantes. Ils n’ont donc aucune raison de passer au 20 Heures. Mais l’un (Leigh) est économiste au FMI, et l’autre (Blanchard), chef économiste dans la même estimable institution.
Et donc, dans un colloque économique en fin de semaine dernière, ils ont admis un léger bug dans les calculs. En fait, voyez comme c’est ballot, au FMI, dans un moment de distraction, ils ont mal réglé leurs ordinateurs. Et ils avaient juste sous-estimé l’impact négatif des politiques d’austérité sur la croissance.

Faux coefficient de calcul

En gros, ils ne pensaient pas que l’austérité assécherait à ce point la demande, et donc l’économie. Si si, je vous jure que c’est vrai, leur coefficient de calcul était faux, la reconnaissance de la grosse boulette est attestée sur des sites sérieux, ici ou .
Ils ne savaient pas, comme le rappelle Paul Krugman dans le New York Times, qu’en économie, mes dépenses sont tes revenus, et mes revenus sont tes dépenses. Ça doit être une question de formation continue. Il faudrait accorder quelques jours par an de formation continue aux chefs économistes du FMI.
Evidemment, ce n’est pas le FMI, en tant qu’institution, qui reconnaît qu’elle s’est trompée. Ces choses-là ne se font pas. Blanchard et Leigh, ils ont bien pris soin de le préciser, s’expriment à titre personnel. Bien sûr, bien sûr. Et c’est forcément pour cette raison qu’à l’heure où j’écris, cette nouvelle a totalement échappé aux médias français (à quelques exception près, ndlr de Rue89), et accessoirement au gouvernement français (comment l’ai-je apprise moi-même ? Parce que je suis abonné au compte Twitter d’un spécialiste des petits Mickeys, voyez le sérieux de mes sources !).
Sinon, on imagine bien qu’on ne s’écharperait pas sur le nombre de demandes de naturalisations belges, sur le régime fiscal en Russie et sur l’euthanasie des éléphantes. Franchement, je ne vois aucune autre raison.

Non les carottes ne rendent pas aimables


VU SUR LE WEB - Il est désormais temps de rendre aux gourmets ce qui leur est dû et de mettre à bas les idées fausses trop souvent diffusées sur quelques aliments de tous les jours.Commençons par les carottes. Depuis votre plus tendre enfance, on vous répète que manger ce légume riche en carotène est bon pour la vue. Il ne s’agissait que de mensonges, les carottes ont les mêmes effets sur la vue que beaucoup d’autres légumes. [...]
Les fruits rouges sont régulièrement mis en avant par les chercheurs qui estiment qu’elles aident à lutter contre la démence. S’il est vrai que certaines baies ralentissent le déclin mental lié à la vieillesse, l’idée que consommer quotidiennement un bol de fraises ou de myrtilles met en sécurité contre la démence est complètement fausse.
Lire l’intégralité de l’article sur Altantico.fr

SALLE GAVEAU 27 MAI 2013: Fazil Say


  • 27 mai 2013 - 20h30

    Fazil Say

    Sacre du printemps

    SALLE GAVEAU
    45-47 rue La Boétie
    75008 PARIS
    01.49.53.05.07

Kaman’s museum an attraction for Japanese tourists (pour ceux qui ont un compte Google, traduction en français approximative possible !)


The Kalehöyük Archaeology Museum in Kırşehir’s Kaman draws attention especially from Japanese tourists thanks to its architecture and artworks. The museum was opened with contributions from the Japanese government in 2010
The Kalehöyük Archaeology Museum is the first of its type in Turkey in terms of its architectural structure and museum management. It is home artifacts from various eras. AA Photo
AA Photo
The Kalehöyük Archaeology Museum is the first of its type in Turkey in terms of its architectural structure and museum management. It is home artifacts from various eras. 
A museum, established in the Anatolian province of Kırşehir’s Kaman district with support from the Japanese Foreign Affairs Ministry, saw 30,000 foreign and Turkish tourists, most of whom were Japanese, walk through its doors.

The Kaman Kalehöyük Archaeology Museum has been a significant key for the city’s tourism, Kırşehir Governor Özdemir Çakacak said. Excavations works have been carried out by the Japanese government in Kalehöyük since 1986 and the region is also home to a Japanese Garden and Archaeology Institute, he said.

A unique arcitecture


The Kalehöyük Archaeology Museum in Kaman’s Çağırkan district draws crowds thanks to its unique architecture and incredible selection of artworks, according to the mayor. “Japanese tourists, who are very interested in history and culture, pay special attention to the museum, which was established by their own government,” he said.

The museum received 30,000 tourists in 2012, according to Çakacak. “When we consider that nearly 90,000 tourists visit the Cappadocia region every year, we see that we have a very good potential for tourists. Kaman is home to a museum where artworks unearthed by Japanese archaeologists during excavations are on display, as well as a Japanese garden. There is also the Archaeology Institute next to the museum. They are very important tourist attractions. Japanese tourists are especially very curious about both the museum and the institute. We want to draw the interest of Japanese people to the city center,” he said.

Kırşehir Mayor Yaşar Bahçeci had plans to establish a Japanese garden, a Japanese house and an archaeology museum in the city center. “The goal is to increase the variety of Japanese tourist attractions besides the thermal. They show big interest especially in Cappadocia. We are working to draw Japanese tourists, who come to Cappadocia, to send a few days in Kırşehir. When we’ve succeed at it, Kırşehir’s city center will host more foreign tourists. We have thermal hotels in the center. A new and big thermal hotel was also opened recently,” Çakacak said.

Minister Günay and Japanese prince open doors


The Kalehöyük Archaeology Museum, which displays artifacts unearthed during the Kaman Kalehöyğk excavations that were initiated in 1986 with contributions from Japanese scientists, has a mound-shaped architecture. It was opened July 10, 2010, at a ceremony attended by Japanese Prince Tomohito Mikasa and Turkish Culture and Tourism Minister Ertuğrul Günay.

The museum is the first of its type in Turkey in terms of its architectural structure and museum management. It is home to artifacts from the Iron Age, Hittite and Assyrian Trade Colonies era, early and late Bronze Age and the Ottoman era.

The museum aims at educating visitors, especially children and uses 3D animations for the first time in Turkey. Also, seals in the museum can be seen on 3D screens. The small-scale mockup of the ancient site of Kalehöyük as well as unclassified archaeological materials, which visitors can touch, also draws attention from visitors. The museum also received the “Green Good Design Award” in 2010.
January/08/2013

Tarihi aydınlatacak fotoğraflar ilk kez gün ışığına çıktı


Tarihi aydınlatacak fotoğraflar







Kültür ve Turizm Bakanlığı, sır gibi sakladığı yenilenmiş film ve görüntü arşivini Anadolu 
Ajansı'na (AA) açtı. Arşivde Osmanlı padişahlarından, Mustafa Kemal Atatürk ve 
eski Başbakan Adnan Menderes'e kadar birçok tarihi kişiliğin daha önce görülmemiş
kareleri bulunuyor. Son teknolojiyle restore edilen ve saklanan görüntüler sadece
kültür tarihini değil Osmanlı'dan Cumhuriyet'e kadar bir milletin siyaset tarihini de
Ortaya koyuyor.

Arşivi ilk kez AA muhabirine gezdiren Sinema Genel Müdürü Cem Erkul, Kültür ve Turizm Bakanı Ertuğrul Günay'ın talimatıyla yenilenen Sinema Genel Müdürlüğü Sinema ve Görüntü Arşivi sayesinde gelecek nesillerin tarihi artık “hayal” ya da “tahmin” ederek değil izleyerek öğrenebileceğini söyledi.
Mekanı tamamen yenilenen arşivde yer alan filmlerin ve görüntülerin 250 kilogram ağırlığa kadar dayanıklı özel kutularda saklandığını belirten Erkul, verilerin detaylandırılarak kayıt altına alındığını bildirdi.

 
SIR GİBİ SAKLANAN GÖRÜNTÜLER ORTAYA ÇIKTI
İŞTE O FOTOĞRAFLAR
Alandaki ısı, nem ve ışık gibi faktörlerin tamamının özel olarak hazırlandığını vurgulayan Erkul, “Buraya giriş-çıkışlar kontrol altında. Tarihi özelliği olduğu için biraz daha hassas çalışmayı gerektiriyor. Yetkisiz kimsenin girmesi mümkün değil. Kapı şifre ve kartla açılıyor. Kamera bunu izliyor eğer şifreyle kartı eşleştiremezse kapıyı açmıyor. Ayrıca 24 saat güvenlik koruma memurlarımız var. Buraya ben dahil herkes girerken özel izinle giriyor” diye konuştu.

"HAFIZAMIZI YİTİRMEYECEĞİZ"
Arşivde saklanan yerli ve yabancı film ve belgesellerin sayısının on binlerle ifade edilebileceğini belirten Erkul, aynı zamanda şu an üzerinde çalıştıkları yeni görüntüleri de arşive eklemeye başladıklarını söyledi.
Bunların arasında 1980 ihtilalinin ardından toplatılarak devletin tozlu raflarına kaldırılan “nitrat tabanlı” patlayıcı 600 bin metre belge filmin bulunduğunu dile getiren Erkul, şöyle konuştu:
“Basın Yayından, Genel Kurmay'dan, MEB'ten elimize geçen filmler var. Asıl bir arşiv çalışması da onlar üzerinde yapılacak. Onları oynatabilecek cihazlar hazırlandı. Sadece görüntü restorasyonu yapılmıyor, görüntü, senkronizasyon restorasyonları da yapılıyor.
Arşivimizde filmlerin yanı sıra Osmanlı padişahları Sultan Reşat, Sultan Vahdettin, Türkiye Cumhuriyeti'nin kurucusu Mustafa Kemal Atatürk ve eski Başbakan Adnan Menderes'in daha önce görülmemiş kareleri bulunuyor. Bunlar ülkenin tarihi, görsel hafızası. Hafızamızı ve tarihimizi yitirmeyeceğiz. Hepsi dijital olarak kataloglanacak, temizlenecek, restore edilecek ve tekrardan orijinal materyaliyle aynı zamanda dijital olarak saklanacak. Böylece hem yedeklenecek hem de herkesin kullanımına hazır hale getirilecek.”

"YOL HARİTAMIZ VAR"
Tarihi belgeleri incelemek isteyen birçok uzmanın kendilerine başvurduğunu belirten Erkul, şöyle konuştu:
“Ancak elimizdeki nitrat tabanlı görüntüler henüz tarihçiler tarafından rafine edilmedi. Siyah-beyaz olmasına rağmen bu görüntüler çok kıymetli görsel hafıza, mutlaka olması gereken tarih bilinci. Elimizdekilerin hepsi o dönemdeki eserlerden oluşuyor ancak toplanmayanları da var. Önümüzdeki aylarda bakanlığımızın yapımına başlamaya hazırlandığı daha büyük bir merkezde Türkiye ile ilgili tüm görüntüleri toplamayı hedefliyoruz. Attığımız adımların kısa sürede çok olumlu sonuçlar verdiğini gördük. Bu zamana canlı tanık olanların bile hafızalarından silinmeye başlamış görüntüler gün yüzüne çıktı şu anda. Artık önümüzde bir yol haritamız var.”

VAHDETTİN ABDÜLHAMİD'İN CENAZE MERASİMİNE GİDİYOR
İzleyenleri tarih sayfalarında yolculuğa çıkaran görüntüler arasında Avusturya İmparatoru'nun İstanbul ziyareti ve onu karşılayan Osmanlı padişahı Sultan Reşat'ın bulunduğu kareler yer alıyor.
Bir diğeri ise 1918'de tahta çıkan Osmanlı devletinin son padişahı Vahdettin'e ait. Yine 1918 yılının Şubat ayına ait olduğu tahmin edilen görüntüde Sultan Vahdettin, at arabasında askerlerin arasında halkı selamladıktan sonra Sultan Abdülhamid'in cenaze merasimine katılıyor.

ULU ÖNDER ÖLMEDEN İKİ YIL ÖNCE
Tadilatı tamamlanan 600 bin belge filmden bir bölümü de Türkiye Cumhuriyeti'nin kurucusu Mustafa Kemal Atatürk'e ait.
Atatürk'ün 1936'da TBMM'de 5. devre 2. yıl açış konuşmasını izleyenler hem yeni kurulan Türkiye Cumhuriyeti'nin iktisadi, siyasi ve sosyal gelişimini hem de ulu önderin sesinin orijinal halini dinleyebiliyor.
Arşivde bulunan bir başka görüntüde ise Atatürk, Türkiye Cumhuriyeti'nin ilk Başbakanı İsmet İnönü ve beraberindeki heyet İran Şahı Rıza Pehlevi'yi istasyonda karşılıyor.

ADNAN MENDERES'İN ZİYARETLERİ
Dışarıdan bakıldığında ne olduğunun anlaşılması mümkün olmayan ve ancak büyük uğraşlar sonucunda netlik kazanabilen görüntülerde, 27 Mayıs 1960 darbesinin ardından idam edilen eski Başbakan Adnan Menderes'e ait önemli ziyaretlerin detayları da var.
Yakın tarihi gözler önüne seren 1950'lere ait bu karelerde, Menderes ve beraberindeki heyet gemiyle Yunanistan'ın başkenti Atina'ya gidiyor. Atina'da Yunan halkının coşku ve sevgiyle karşıladığı Menderes, tarihi Atina Akropolü'nü geziyor, Yunan adalarını ziyaret ediyor.
Atina'da gittikleri her yerde halkın yakın ilgi gösterdiği, zaman zaman evlerin çatılarına çıkarak selamladığı Menderes ve heyeti, sokaklara hem Türkçe hem de Yunanca asılan “Hoş geldiniz sevgili ve aziz dostlarımız” yazılı pankartlar karşılıyor.
Bir başka karede ise Menderes ile 3. Cumhurbaşkanı Celal Bayar'ın göçmenlerin durumunu incelemek üzere çıktıkları Edirne, Kırklareli ve Babaeski seyahatleri ve Menderes'in kurmaylarıyla katıldığı Konya gezisi de bulunuyor.

HÜRRIYET

100 yıllık Kur'an 2500 eşyalı ev müzesinde


100 yıllık Kur'an 2500 eşyalı ev müzesinde

Tekirdağ'ın Çorlu ilçesinde yaşayan 72 yaşındaki Ahmet Gürses, kendisine ait evin üçüncü katını müzeye çevirdi. Müzede 100 yıllık Kur'an-ı Kerim de var.
Müzede 150 yıllık ağaçtan yapılmış yer sofrasından 100 yıllık Kur'an-ı Kerim'e kadar yaklaşık 2 bin 500 parça eser bulunuyor. Eserleri birçok yetkilinin görmesine rağmen kimsenin ilgilenmemesi ise Ahmet Gürses'i üzüyor.

Çorlu Havuzlar Mahallesi'nde bulunan kendisine ait binanın üçüncü katını müzeye çeviren Gürses, Çorlu Kaymakamlığı'ndan emekli olduktan sonra 9 yılda yaklaşık 2 bin 500 eski eşyayı toplayarak müzeyi oluşturmuş. Müzede bulunan eserlerden 90 tanesinin yaşı 100 yılın üzerinde. 150 yıllık ağaçtan yapılmış yer sofrası, Osmanlıdan kalma hayvan çanı, kahve makinesi, 100 yıllık Kur'an-ı Kerim, telefon, gramofon, kürk, Osmanlı döneminden kalma 130 yıllık ayakla çevrilen çıkrık, 70 yıllık ölçü aleti şinik, 60 yıllık ayaklı fotoğraf makinesi, 48 yıllık radyo, 40 yıllık akordeon ve satranç takımı müzeye zenginlik katıyor. Müzede eski paralar, pullar, mutfak eşyaları, giyim ve kıyafetler, yakın tarihe ait çeşitli elektronik aletler ve tarım aletleri bulunuyor.

Ahmet Gürses, büyük uğraşlar sonucu 9 yılda topladığı tarihi parçaları bağışlamak istediğini, ancak kimsenin kendisine yardımcı olmadığını belirterek, "Bu kadar tarihi parçayı büyük uğraşlar sonucu topladım. Müze ile ilgili olarak belediyeye ve ticaret odasına gittim, elimde böyle eserlerin olduğunu ve bunun Çorlu'da değeri bilinecek bir yere bağışlamak istediğimi söyledim. Ancak hiç kimseden bir ses çıkmadı. Ben bu eserleri bağışlamak istiyorum. Bu eserler Çorlu'ya bir nimettir. Hiçbir yerden yardım almadan yaptım, kolay iş değil. Bunları herkes görsün, ben 35 yıldır Çorlu'da ikamet ediyorum. Bunu gelecek nesillere, Çorlumuza, Trakya'ya, Türkiye'ye hatıra olarak bırakmak istiyorum. Çorlu'daki sivil toplum kuruluşlarına, kaymakamlığa, belediyemize sesleniyorum, bu eserlere sahip çıkılmasını istiyorum. Çorlu'ya bir hatıra bırakmak istiyorum, benim tek isteğim ve arzum bu eserler ile ilgili olarak bir müze yapılması." şeklinde konuştu.

Sabah

Mafya filmlerinin ünlü aktörü öldü


Amerikalı aktör Tony Lip'in 82 yaşında hayatını kaybettiği bildirildi.

Mafya filmlerinin ünlü aktörü öldü
Asıl adı Frank Anthony Vallelonga olan ünlü oyuncunun ailesi, son zamanlarda sağlık sorunları yaşayan Lip'in, tedavi gördüğü New Jersey'deki hastanede yaşamını yitirdiğini belirtti.
Özellikle mafya film ve dizilerinde canlandırdığı rolerle tanınan Lip, ''The Sopranos'', ''The Godfather'', ''Goodfellas'' ve ''Donnie Brasco'' gibi filmlerde rol almıştı.
TRT

Turquie: PROSTITUTION - Fermeture de six maisons closes à Istanbul


Les travailleuses du sexe employées dans les maisons closes de la rue Zürafa (quartier de Karaköy) ont manifesté vendredi 4 janvier suite à la fermeture de six établissements.
Cette fermeture intervient alors que des policiers sous couverture auraient relevé des comportements illégaux tels que de la publicité et du racolage dans ces mêmes maisons. Pour les manifestants, ”le gouvernement a commencé à fermer nos lieux de travail de façon arbitraire, sans nous proposer d’alternative. Ceci va nous pousser à travailler illégalement sans contrôle”, rapporte le journal Hürriyet.
En Turquie, la prostitution est légale mais encadrée par la loi, tout comme le sont les maisons closes, soumises à autorisation. La rue Zürafa (“rue de la Girafe”) constitue depuis longtemps le “quartier rouge” d’Istanbul. Sur la quinzaine d’établissements qu’il abrite encore aujourd’hui, deux viennent d’être fermés, quatre autres temporairement, rapporte le quotidien en ligne Bianet. Au total, les maisons closes du quartier emploieraient plus de 300 personnes, si l’on inclut le personnel de sécurité et de ménage. Parmi elles, 125 prostituées, dont 25 transsexuels.
Photo screenpunk, Flickr/CC
Plus de permis depuis dix ans
Tête de Turc des autorités, ce quartier n’est pourtant que la partie émergée de l’iceberg. Selon des chiffres officiels, si l’on dénombre plus de 100.000 travailleuses du sexe en Turquie, seulement 56 maisons closes et 3.500 prostituées sont effectivement déclarées. Şevval Kılıç, fondateur d’une association de défense de leurs droits, affirme ainsi que 40.000 prostituées ont essayé de se faire déclarer, en vain. Le gouvernement n’aurait délivré aucun permis depuis 2002. Avant d’ajouter : “Suite à un décret récent, si une maison close est fermée deux fois dans une année, le gouvernement peut alors la fermer définitivement.”
Mais pour les manifestants, les causes officieuses de ces fermetures seraient surtout économiques. Il s’agirait de préparer le terrain pour le grand projet Galataport, qui prévoit la construction d’hôtels, de centres commerciaux, de cinémas et de lieux de divertissement dans le quartier de Karaköy-Salıpazarı.
Fanny Fontan (http://www.lepetitjournal.com/istanbul) mardi 8 janvier 2013 

lundi 7 janvier 2013

les soldes débutent mercredi 9 janvier mais pas partout !


Les soldes d'hiver 2013 débutent le mercredi 2 janvier 2013 dans les départements de la Meurthe et Moselle, Meuse, Moselle, Vosges, Guyane, et le mercredi 9 janvier 2013 pour se terminer le mercredi 13 février 2013 en France métropolitaine. En application de l'article D310-15-2 du Code de commerce, les soldes d'hiver débutent le 2ème mercredi du mois de janvier à 8 heures du matin. Cette date est avancée au 1er mercredi du mois de janvier lorsque le 2ème mercredi intervient après le 12 du mois (ce qui ne sera pas le cas en 2013).
Toutefois, dans certains départements ou territoires, les dates des soldes d'hiver dérogent à la règle afin de tenir compte d'une forte saisonnalité des ventes, ou d'opérations commerciales menées dans des régions frontalières. Un décret (n°2012-1311) du 27 novembre 2012 modifie la liste des zones dérogatoires fixées à l'annexe de l'article D310-15-3 du Code de commerce, de façon à :
  • exclure, pour les soldes d'hiver, les départements des Landes et des Pyrénées-Atlantiques. Les soldes d'hiver 2013 dans ces départements commenceront le 9 janvier et non pas le mercredi 2 ;
  • exclure, pour les soldes d'été, la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, à l'exception du département des Alpes-Maritimes,
  • instaurer une dérogation dans le département des Pyrénées-Orientales pour les soldes d'été.
En conséquence, les départements bénéficiant d'un régime dérogatoire pour la fixation des dates de démarrage des soldes d'hiver sont les suivants :
  • Meurthe et Moselle, Meuse, Moselle, Vosges, Guyane : où les soldes ont lieu à partir du 2 janvier ;
  • Guadeloupe : où les soldes ont lieu à partir du 5 janvier ;
  • Saint-Pierre et Miquelon : où les soldes ont lieu à partir du 16 janvier ;
  • Réunion : où les soldes d'été ont lieu à partir du 2 février ;
  • Saint Barthélémy et Saint-Martin : où les soldes ont lieu à partir du 4 mai.

le trophée des Français à l'étranger

Lepetitjournal.com, le média de référence des Français et francophones à l’étranger, vous souhaite une bonne année 2013. N'oubliez pas que vous avez jusqu'au lundi 21 janvier 2013 pour déposer votre candidature et ainsi participer à l'évènement

« Les Trophées des Français de l’étranger »

Sous le haut patronage de Mme Hélène Conway-Mouret, Ministre déléguée chargée des Français de l’étranger

Vous résidez à l’étranger ?
Vous (ou l’un de vos proches) disposez d’un parcours d’exception ?
Postulez dès à présent aux Trophées des Français de l’étranger et gagnez un voyage pour Paris afin d’assister à une soirée de prestige au Quai d’Orsay
Récompenser des parcours d’exception à l’étranger
Cette année, les trophées mettront à l’honneur 6 Français de l’étranger qui, par leur parcours, leur détermination et leur générosité, portent les couleurs de notre pays à l’international. Différents prix viendront récompenser ces parcours d’exception:
  • Le Trophée Entrepreneur remis par notre partenaire Humanis
  • Le Trophée Social/humanitaire remis par notre partenaire la Caisse des Français de l’Etranger
  • Le Trophée Environnement
  • Le Trophée Espoir/Jeune remis par notre partenaire VIE / Ubifrance
  • Le Trophée Art de vivre
  • Le Trophée Coup de Cœur remis par notre partenaire The Bank For Expats® (BNP Paribas Personal Investors)
Retrouvez dès à présent le formulaire de candidature sur notre site internet !
Clôture des inscriptions le lundi 21 janvier 2013 à 12h (Heure de Paris).
Prix pour les Lauréats
Chaque Lauréat se verra remettre :
  • 1 Ipad Mini
  • 1 billet d’avion A/R entre son pays de résidence et Paris
  • 2 nuits dans un hôtel parisien pour assister à la remise des Trophées des Français de l'étranger
Le Jury
Le jury est composé de personnalités du monde de la mobilité internationale parmi lesquelles:
  • Mme Hélène Conway-Mouret, Ministre déléguée chargée des Français de l’étranger
  • Des parlementaires représentant les Français établis hors de France
  • Un représentant de chaque partenaire de l’événement
  • Un représentant des éditions lepetitjournal.com
Ils se réuniront début février à Paris afin de procéder à la désignation des lauréats des Trophées des Français de l’étranger parmi les candidatures présélectionnées par notre rédaction.
La soirée de remise des Trophées
La soirée de remise des Trophées aura lieu le jeudi 7 mars 2013 au Quai d’Orsay à partir de 18h30.

Mme Hélène Conway-Mouret, Ministre déléguée chargée des Français de l’étranger, marraine de la soirée,
M. Hervé Heyraud, Président-fondateur des éditions lepetitjournal.com ainsi que nos différents partenaires remettront les Trophées des Français de l’étranger devant plus de 300 personnes du monde de la mobilité internationale (représentants politiques, institutionnels, décideurs)

Retrouvez dès à présent le formulaire de candidature sur notre site internet !
Clôture des inscriptions le lundi 21 janvier 2013 à 12h (Heure de Paris).
Nos partenaires Trophées des Français de l'étranger
Notre partenaire associé


jeudi 17 janvier Au centre anatolie de PARIS

à partir de 18h30: rencontre dédicace de France DAL CHELE pour son livre "du lokoum au béton" avec l'équipe de la maison d'édition Trans Photographic Press
centre culturel anatolie
77, rue Lafayette 75009 PARIS
Tél: 01.42.80.04.74

un site à consulter si vous habitez au nord de PARIS






Solutions Locales vous souhaite une excellente année 2013, qu'elle soit propice à vos aspirations et à toutes vos attentes !



Les NOUVEAUx PRODUITs ! La gamme s'étoffe...

HUILE de COLZA 1L BIO 7,85 € TTC HUILE de OURNESOL OLEÏQUE 1L BIO 7,35 € TTC








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Du côté du rayon frais...
Cette semaine nous avons :
Légumes (d'hiver) BIO = pommes de terre, carottes, poireaux, radis noir, choux de toutes les couleurs !, céleri rave, navets, etc...
Produits laitiers = Crème fraîche BIO, Yaourt BIO, Fromage blanc BIO
Fromages = Bray Picard BIO, Bray au lin BIO, Rollot Brayon, Tomme au foin BIO, au cidre BIO, etc...
Fromages de chèvre = Crottin, cendré bûche, yaourts au lait de chèvre
Œufs BIO = par 6 ou par 12
N'oubliez pas vos paniers !
COLIS de VIANDES - sur réservation :
POULET BIO (2Kg env.) = 14,80 €/Kg ttc
BOEUF BIO (Colis 10Kg/5Kg) = à partir de 22,15 €/Kg ttc
COCHON BIO (Colis 2Kg750 env.) = 16,13 €/Kg ttc
VEAU de lait sous la mère (Colis 8Kg env.) = 24,15 €/Kg ttc

Demandez aux permanences !






Le PICARD est amateur de breuvages houblonnés !
Découvrez les productions des brasseries locales, fermières : hautes en goût et en caractère... surprenantes...

L'abus d'alcool est dangereux pour la santé.
Évitez de manger trop gras, trop sucré, trop salé.



Les prochaines PERMANENCES de RETRAITs - ouvertes au public :
Jeudi 10 janvier - 16h / 17h30 - aux Ateliers de la Bergerette
Mardi 15 janvier - 18h / 19h - à l'ASCA
Mercredi 16 janvier - 18h / 19h - à l'Ecume du jour
INFOS permanences de retrait : LIEN

SOLUTIONS LOCALES : Comment ça marche ? : LIEN

Produits frais à acheter sur place,
Colis de viandes à réserver,

N'oubliez pas vos paniers et à bientôt !




Gérald BASSET - SOLUTIONS LOCALES

web : www.solutionslocales.fr

Tél. : 06 37 57 04 06
Mail : gerald@solutionslocales.fr

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Épicerie, gastronomie picarde, artisanat, culture, écoproduits, bières