samedi 16 mars 2013

Piri Reis map on tiles worth 1.5 million TL


KÜTAHYA - Anatolia News AgencyA world map drawn by the Ottoman admiral Piri Reis has been depicted in a 59-piece set of tiles. The collection will be sold at an auction in Istanbul as part of the ‘Piri Reis Year’ declared by UNESCO
The collection, which was finished in 19 months by tile artist Fahri Çetinkaya, will be sold at auction in Istanbul with a starting price of 1.5 million Turkish Liras. AA photo
The collection, which was finished in 19 months by tile artist Fahri Çetinkaya, will be sold at auction in Istanbul with a starting price of 1.5 million Turkish Liras. AA photo
The famous world map of the Ottoman admiral Piri Reis has been transformed into 59 separate pieces of tile by an artist in the Aegean province of Kütahya, renowned for its tiles. The collection, which was finished in 19 months by tile artist Fahri Çetinkaya, will be sold at auction in Istanbul with a starting price of 1.5 million Turkish Liras.

Çetinkaya, 44, started working with tiles in 1982, under the auspices of his father-in-law İbrahim Kocaoğlu, known as Alopaşalı İbrahim, who is also a tile artist.

The artist said that creating tiles was a matter of the heart, adding, “I worked until the early hours of the morning without sleeping. I sometimes did not leave the workshop [and went] four or five days without seeing the sky.”

Çetinkaya said that the Ottoman admiral Piri Reis had finished the world map in just 29 days, an astoundingly short amount of time given the rudimentary tools available.

This year has been declared the Piri Reis Year by the United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization (UNESCO), as it marks the 500th anniversary of the creation of the map. This came as a surprise to Çetinkaya. “When I started making the collection, nobody knew that this year would be declared the Piri Reis Year. It was declared 15 months after I started working on the map,” he said. “I made nearly 90 pieces of work in the collection but 59 out of these are directly related to the Piri Reis world maps. There are also maps of some parts of Europe and Asia as well as settlements on the Mediterranean coasts. None of the pieces are copies or similar to each other. I created my collection by including the settlement places and other Ottoman figures around when making the map. Therefore this collection was created with very great difficult in 19 months. Each piece is unique.”

The collection’s smallest pieces are 40-centimeter floor tiles. There are also jars, vases, candelabrum, bowls and quadruplet and twosome boards as well as plates ranging from 40 to 90 centimeters in diameter.

Collection in exhibit

Çetinkaya said that all of the pieces were made up of complementary designs and figures, and showed the world map of Piri Reis as a whole. “I chose each of the tile forms one by one. The colors are the same, just like in the maps. I also carried out trials and research to make them more beautiful. As a result, it is a very nice collection. I tried to reflect what I felt on the tile.”

The collection will be exhibited from March 15 to May 31 at the Tophane-i Amire Culture Center of Istanbul’s Mimar Sinan University Fine Arts Faculty, as part of the Piri Reis Year events. An auction will also be held there for the sale of the collection, and the opening price for the 59-piece map tile collection will be 1.5 million liras.

Piri Reis map drawn in 1513


The Piri Reis map was drawn in 1513 by the Ottoman admiral and cartographer Piri Reis. The approximately one-third of the map that survives shows the western coasts of Europe and North Africa and the coast of Brazil with reasonable accuracy. Various Atlantic islands, including the Azores and Canary Islands, are depicted, as is the mythical island of Antillia and possibly Japan. The historical importance of the map lies in its demonstration of the extent of Ottoman exploration of the New World by approximately 1510.

The map was discovered accidentally in 1929 by German theologian Gustav Adolf Deissmann, who was commissioned by the Ministry of Education to catalogue the Topkapı Palace library’s non-Islamic items.
March/15/2013

vendredi 15 mars 2013

nouveau site web pour les Français et le Turcs

Un nouveau site vient de voir le jour rassemblant une série de services pour Français et Turcs:

www.bleuturquoiseservices.fr

à consulter pour toute aide en matière de services d'écrivain public, cours de culture et épanouissement personnel, gestion de documents, édition d'ouvrages de tout type.

UNE HISTOIRE VRAIE DE TURQUIE - Mon petit mouton / Kuzucuğum

À l’occasion de Marseille-Provence 2013 Capitale européenne de la culture, l’écrivain français François Beaune fait le tour de la Méditerranée pour collecter des “histoires vraies”. Lepetitjournal.com d'Istanbul est partenaire de son projet. Maximus, un jeune Kurde d’Istanbul, raconte comment son village a été incendié par l’armée alors qu’il n’était encore qu’un enfant. Les années ont passé, mais les images de l’horreur sont encore très présentes dans sa mémoire. Il sait pourtant qu’il doit partager cette histoire avec le reste du monde.
J’avais sept ans. C’était dans un village du Sud-Ouest, un village extraordinaire, entouré d’une rivière dont l’eau est si claire qu’on y voit les poissons. On peut y nager et boire son eau. La nature est telle qu’on se croirait au paradis. C’est le village de mon oncle maternel. Nous étions là-bas avec ma famille pour une semaine. Mon oncle possédait une ferme avec un petit mouton que j’adorais. Le village était entouré de noyers dont nous allions ramasser les noix. En échange des noix, l’épicier nous donnait des biscuits ; ce type de commerce était assez courant.
Un jour, en début de soirée, alors que nous venions de rentrer les bêtes et que le soleil se couchait, nous avons entendu des voix d’enfants qui criaient : “Les soldats, les soldats !” Nous avons demandé ce qui se passait et on nous a répondu que des soldats arrivaient. Dans nos têtes d’enfants, un soldat, ça voulait dire “chocolat”. Quand les militaires pénétraient dans les villages, ils apportaient toujours des bonbons et du chocolat. On allait donc manger du chocolat !
Tous les enfants ont couru vers la place principale. Les soldats ont ordonné que tous les habitants se rassemblent, puis ils nous ont séparés. Les hommes d’un côté, les femmes de l’autre, et les enfants au milieu. Ils nous ont donné du chocolat et ils ont joué avec nous pendant qu’ils emmenaient nos mères et nos pères. En réalité, ils nous occupaient pendant qu’ils violaient les femmes et torturaient les hommes. Ils ont même essayé de regrouper les hommes dans une grange et de l’incendier. Les soldats faisaient tout pour nous distraire, mais j’ai bien vu et entendu ce qui se passait, c’est pour cela que je raconte cette histoire ; impossible de me taire…
Alors que les soldats nous gavaient de chocolat, soudain un bruit a retenti dans le village, un bruit indescriptible… Je suis incapable de décrire ce bruit… Je n’avais que 7 ans mais ce bruit résonne encore dans mes oreilles, je ne peux pas l’oublier. À mon avis, c’était la voix de Dieu, oui, Dieu… Tout le monde l’a entendu, et tout le monde a pensé comme moi… La voix de Dieu… Nous adorions le chocolat mais en entendant ce bruit, nous nous sommes arrêtés net et avons laissé tomber par terre nos friandises.
Tout à coup, une fumée noire est apparue derrière le village, les chats miaulaient, les chiens aboyaient, tous les animaux s’agitaient. C’était quelque chose d’incroyable, quelque chose qu’on ne peut pas décrire…
Le village s’est transformé en champ de bataille… Imagine : un villageois travaille toute la journée dans les champs, le soir il rapporte sa récolte au village, l’entrepose soigneusement dans les abris, se rend sur la place du village et là… tout disparaît ! Et ça, c’est l’État qui en est responsable… Il détruit nos villages qu’on doit abandonner sans rien emporter. Aucun vêtement. Nous n’avons rien pu prendre avec nous. Nous avons dû fuir, quitter le village, sans savoir où aller… Il fallait partir… Tout le monde pleurait… Ils ont essayé de brûler vif tous les hommes du village en les rassemblant dans une grange ! Tu imagines…? Tu sais ce qui m’a fait le plus de peine ? J’avais sept ans et ce n’était pas la destruction du village, ni même les pleurs des gens… C’était la mort de mon petit mouton. Mon petit mouton était mort, ils l’avaient tué.
J’ai vécu ça… J’ai vraiment vécu ça… Aujourd’hui, je regarde autour de moi. J’ai grandi et comme tout le monde ici – regarde –, je porte les cheveux longs, j’ai un style qui ressemble à celui des autres. Mais les gens, là, est-ce qu’ils ont vécu ce que j’ai vécu? Est-ce qu’ils ont vu ce que j’ai vu ? Moi, je suis là aujourd’hui, sain et sauf, mais c’est difficile, très difficile…
Depuis, il s’est passé beaucoup de choses. J’ai quatorze oncles maternels, enfin j’avais… car sept sont morts… Dans mon village, beaucoup de gens ont perdu la vie. Qui les a tués? Personne ne sait… C’est pas clair… Qui étaient ces soldats? Je ne sais pas… Je me souviens simplement des gens armés, des gens blessés, des corps mutilés, sans jambes, sans oreilles, sans bras… Qui étaient-ils ? Je ne sais pas… Je sais seulement que c’étaient des êtres humains, c’est pour ça que j’éprouvais de la pitié. J’ai vécu ça, j’ai vraiment vécu ça ! Je suis un citoyen du monde… Je n’appartiens pas à une terre… Gloire à la patrie !…
Aujourd’hui, nous étions sur la place d’Üsküdar et un groupe, environ une cinquantaine de personnes, s’était rassemblé pour protester en criant : “Les martyrs ne meurent pas, la nation ne se divise pas”, ce genre de slogans, quoi ! Je les ai observés, ils étaient tous habillés correctement, ils tenaient chacun un drapeau turc et marchaient en lançant leurs slogans. J’ai réfléchi et je me suis demandé si nous aussi, nous aurions dû lancer ces mêmes slogans à l’époque… Non, finalement nous avons bien fait… Aujourd’hui, je suis en vie… Je suis en vie pour raconter cette histoire. J’ai une histoire à raconter…
Ecoutez cette histoire en turc :
Traduit du turc par Delphine Odabaşı (http://www.lepetitjournal.com/istanbul) vendredi 15 mars 2013
Cette histoire vraie fera partie du livre que François Beaune publiera aux éditions Verticales en octobre 2013. Vous aussi, vous pouvez déposer la vôtre dans la bibliothèque disponible sur le site de Marseille-Provence 2013

BURSA – C’est parti pour la semaine du film français !


Le mois de mars n’est pas seulement l’occasion de fêter le printemps. Chaque année, c’est aussi l’opportunité de partager la langue et la culture françaises à travers la journée internationale de la francophonie. La ville de Bursa ne fait pas exception
La francophonie désigne l’ensemble des individus qui utilisent partiellement ou entièrement la langue française dans leur vie quotidienne ou leurs communications. La langue française peut y avoir une place en tant que langue maternelle ou langue seconde, langue officielle ou non officielle.
Pour célébrer la francophonie, de nombreux évènements internationaux auront lieu dans les pays concernés. L’Association culturelle Turquie-France de Bursa, en partenariat avec la mairie de Nilüfer et l’Institut Français d’Istanbul, vous proposent une semaine de films français. Du vendredi 15 mars au jeudi 21 mars 2013, quatre films seront à l’affiche, à raison de quatre séances par jour à la Konak Kültürevi (Serda Safak Sahnesi).
Les films proposés sont les suivants : Two days in Paris, Changement d’adresse, L’esquive et Andalucia. Des films qui ont, pour la plupart, été récompensés. Il s’agit essentiellement de comédies projetées en langue française et sous-titrées en turc. Le prix des billets est de 5TL (plein tarif) et 3TL (tarif réduit). Billets à retirer au guichet de la Konak Kültürevi avant la séance.
Pour fêter cet évènement, vous êtes attendus ce soir à 19h00 pour un cocktail à la Konak Kültürevi, organisé avec l’aide de Mehmet Erbak, président de l’Association Culturelle Turquie-France de Bursa. La diffusion du film d’ouverture, Two days in Paris, commencera à 20h30.
Gaelle Loisel (http://www.lepetitjournal.com/istanbul) vendredi 15 mars 2013
Facebook : Bursa Türk-Fransız Kültür Derneği et Nilüfer Sanat

jeudi 14 mars 2013

ISTANBUL: Le pont sur la Corne d’Or bientôt terminé

Après plusieurs mois de travaux et de polémiques, le nouveau pont sur la Corne d’Or ainsi que le métro Marmaray sont bientôt prêts à voir le jour. Lepetitjournal.com d’Istanbul est allé le photographier sous toutes ses coutures
La municipalité d’Istanbul a annoncé récemment que la construction du pont sur la Corne d’Or, débutée en janvier 2012, s’achèverait en mai. Les rails et lumières seront alors installés et les énormes grues fabriquées à Yalova, apportées pour les travaux, quitteront enfin les lieux, rapporte le Today’s Zaman. Le 10 mars, après la pose de la dernière pièce du pont, son architecte est monté en haut de la tour de Galata avec un journaliste du Hürriyet. Contemplant son œuvre pour la première fois, Hakan Kıran a déclaré : “Je ne me suis jamais senti aussi comblé depuis la naissance de mes enfants.”
La nouvelle ligne de métro Taksim-Şişhane-Unkapanı-Şehzadebaşı-Yenikapı émergera à Azapkapı avant de traverser le pont. Et retournera sous la terre au niveau de la colline de Süleymaniye. La longueur totale du pont au-dessus de l’eau sera de 460 mètres. Mais en incluant les viaducs d’Unkapanı et Azapkapı, il mesurera 936 mètres de long. Il faudra toutefois attendre la fin de l’année pour l’ouverture de la ligne.
Le nouveau pont photographié depuis un bateau (crédit FF)
Silhouette et polémique
Entreprendre la construction d’un tel ouvrage sur la Corne d’Or n’est pas de tout repos. Léonard de Vinci s’y était lui-même essayé en 1502 sans que son dessein n’aboutisse. Depuis, de l’eau a coulé sous les ponts. Et en 1985, le site est classé au Patrimoine mondial de l’Unesco. Approuvé en juillet 2005, le projet de pont n’a cessé d’alimenter la polémique. Ses détracteurs lui reprochent de ne pas correspondre au dossier présenté à l’Unesco et au public. Constituée de membres du Conseil municipal, d’architectes et de citoyens, ainsi que de l’ONG SOS Istanbul, l’opposition déplore les dommages causés à la silhouette de la péninsule historique.
Interrogé par le quotidien Hürriyet en septembre dernier, Mehmet Murat Çalık, vice-président de la Chambre des urbanistes d’Istanbul, regrettait le choix d’un pont en suspension. Selon lui, un pont bas aurait été plus approprié et n’aurait pas défiguré le paysage ni la vue sur les monuments historiques : “Ce projet scandaleux devrait nous servir de leçon à tous afin de ne pas reproduire la même erreur”, affirmait-il. Avant d’ajouter, vraisemblablement irrité : “Il y a une station au milieu du pont. Sérieusement ? Un pont sert à passer d’une rive à une autre. Pourquoi quiconque voudrait sortir du train au milieu du pont ?” Enfin, l’urbaniste reprochait à la municipalité d’avoir interprété les critiques au projet comme “idéologiques” et de ne les avoir alors pas prises en considération.
Des travaux sous pression
Beaucoup d’architectes partagent la même opinion. Pour Ali Yücel, “ce pont n’est qu’une bien pâle copie des œuvres de l’architecte espagnol Santiago Calatrava. Les deux énormes tours sont censées représenter les deux cornes en référence à la Corne d’Or. Ceci est pathétique en terme de symbolisme.” Selon lui, étant donné l’importance historique du lieu, la municipalité aurait dû organiser un concours d’architectes comme pratiqué dans la plupart des villes de cette importance dans le monde.
Mais Hakan Kıran, l’architecte du projet, explique au Hürriyet qu’il a appréhendé les nombreuses critiques comme un artiste défend son œuvre d’art: “Les gens qui n’ont rien dit pendant que les gratte-ciel couvrent Istanbul et changent sa silhouette ont pourtant tout fait pour empêcher un projet qui va soulager une mégalopole en lutte contre les problèmes de circulation.” Selon lui, cette œuvre ne serait pas née si le Premier ministre et Kadir Topbaʂ, le maire d’Istanbul, ne l’avaient pas soutenue. “Les travaux ont été menés sous une pression extraordinaire. A chaque étape, nous avons consulté l’Unesco”, assure-t-il.
Fanny Fontan (http://www.lepetitjournal.com/istanbul) jeudi 14 mars 2013

Istanbul:Une chaîne humaine pour dire “non” au nucléaire


Les antinucléaires du NKP (Nükleer Karşıtı Platform) et des sympathisants ont formé, ce dimanche, une chaîne humaine sur le pont de Galata, deux ans après la catastrophe de Fukushima et alors que le gouvernement turc investit dans l’énergie nucléaire.
"Nous pensons que nous allons conclure un accord [nucléaire] qui sera facteur de développement, de croissance et de progrès pour la Turquie d’ici la fin du mois", a déclaré le ministre de l’énergie turc, Taner Yıldız, lors d’une réception avec les membres de l’Association de l’efficacité énergétique.
La Turquie est actuellement en pourparlers avec plusieurs pays, dont un consortium franco-japonais formé par GDF Suez et Itochu Mitsubishi, pour décider qui construira à Sinop, au bord de la Mer Noire, la deuxième centrale turque.
Les travaux de construction de la première centrale nucléaire, réalisés par le groupe russe Rosatom, devraient débuter en 2014, sur le site d’Akkuyu, dans la province de Mersin (sud du pays). Ces centrales ont pour objectif de diminuer la dépendance énergétique de la Turquie en gaz et en pétrole.
Des manifestations similaires ont eu lieu dans plusieurs pays du monde. A Paris, le samedi 9 mars, 20.000 personnes ont formé une chaîne humaine, arborant des panneaux et dossards jaunes, symbole du combat des antinucléaires. Voici les photos de la manifestation à Istanbul (crédit AD):

Aurélie Darblade (http://www.lepetitjournal.com/istanbul) mercredi 13 mars 2013

INCENDIE DE BACKNANG – Les corps des huit victimes rapatriés en Turquie


Les corps des huit victimes – une mère et ses sept enfants de six mois à 17 ans – décédées dimanche dans l’incendie de leur appartement de Backnang, près de Stuttgart, ont été rapatriés hier en Turquie après des funérailles en Allemagne. Le vice Premier ministre turc, Bekir Bozdağ, assistait à la cérémonie, ainsi que le ministre des Eaux et Forêts, Veysel Eroğlu.
Les corps sont arrivés hier à Istanbul pour une seconde autopsie. Ils devraient être enterrés ce mercredi dans la province d’Afyonkarahisar, dont est originaire la famille. “Nous espérons qu’il ne s’agit pas d’un sabotage ou d’une attaque raciste” a déclaré Bekir Bozdağ, cité par les médias turcs, avant de demander une enquête approfondie et de proposer à l’Allemagne l’appui de la Turquie. Une demande réitérée par le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué et par le président de la République, Abdullah Gül.
D’après les médias germanophones, les autorités allemandes penchent pour la thèse d’un accident d’origine électrique.

Anne Andlauer (http://www.lepetitjournal.com/istanbul) mercredi 13 mars 2013

istanbul 20 mars 2013: Workshop à la Chambre de commerce

Workshop à la Chambre de commerce

Thématique Conférences
Date de debut 2013.03.20 8h15
Date de fin 2013.03.20
Intro Le workshop en français « Point sur la situation économique en Turquie et les perspectives à court et moyen terme » avec M. Jean-Luc VIETTE,
Attaché Economique près l’Ambassade de France, est organisé le mercredi 20 mars 2013 à 8h15.
Description 08h15 : Accueil des participants
08h30 : Exposé de l’intervenant
09h15 : Questions/Réponses – Echanges
10h00 : Fin de la session

Des boissons chaudes et froides et des amuse-gueules seront servis pour vous accueillir. Le “workshop” débutera à 8h30.
Ce même WORKSHOP est proposé en langue turque le jeudi 21 mars à 8h15 à la CCFT, avec M. Emre TEKMEN, Economiste à TEB
Contact
Adresse Chambre de Commerce Française en Turquie
OTIM Yolu - Ayazma Dere Caddesi - Bareli Is Merkezi No:2-4 - K:2, Gayrettepe-Istanbul
Lien http://www.ccift.com/tr/biz-kimiz/irtibat-krokiler.html
Posté par MA

mercredi 13 mars 2013

Gürcan Gülmez Bocuse d’Or’un, Türkiye birincisi oldu.




Şef GÜRCAN GÜLMEZ, 1987 yılında Şef Paul Bocuse tarafından başlatılmış Bocuse d’Or’un, Türkiye birincisi oldu.
Adını yüzyılın şefi seçilen efsanevi Fransız şef Paul Bocuse’den alan ve dünyanın en önemli gastronomik yarışması, hatta Mutfak Olimpiyatları kabul edilen Bocuse d’Or yarışması ilk kez Türkiye’de düzenlendi. Uluslararası üne sahip Türk ve yabancı aşçıların katılımıyla, Bocuse d'Or Türkiye elemesi 9 Mart’ta İstanbul Kongre Merkezi’nde yapıldı. Dört aday yarışmacıya, izleyicilere açık olarak tariflerini hazırlamaları için 5 saat 35 dakika zaman tanındı. Pişirilen yemekler, ana sponsor ve tedarikçi sponsor olan Metro Toptancı Market tarafından temin edilen Trakya Kıvırcık kuzusuna dayalı bir yemek ve Kuzey Ege Lagosuna dayalı bir balık yemeği olarak adayların kendi özgün sunumlarıyla hazırlandı.
Kıyasıya bir yarışın yapıldığı etkinlikte, Kazanan aday Şef Gürcan Gülmez oldu. Gülmez, 2014 yılında İsveç-Stockholm’de gerçekleşecek olan Bocuse d’Or Avrupa seçmelerinde Türkiye’yi temsil edecek. Avrupa seçmeleri, birçok ünlü ve lider şefi bir araya getirecek ve Türkiye’ye dünya standartlarında ki bu etkinliğin kapılarını açmış olacak. Yarışmada dereceye giren diğer aday şeflerden Erol Sarıdoğan ikinci, Volkan Karataş üçüncü oldu. En iyi komi ödülü ise Okan Öztürk’e verildi. Şef Gülmez, 2006 yılında genç şefler yarışması olan uluslar arası Chefs Rôtisseurs yarışmasını kazanarak ülkemizi Avusturalya’da temsil etti. Yine 2008 yılında ülkesinde yapılan Osmanlı yemek yarışmasında modern Türk mutfağı yarışmasında birincilik elde etti.
Dünyanın en prestijli aşçılık yarışması olan Bocuse d'Or’un Türkiye ulusal elemelerine Ünlü Şef Mehmet Gürs başkanlık yaptı. Şef Mehmet Gürs yaptığı açıklamada: “Bocuse d’Or çok heyecanlı bir yarışma. Öyle bir seviyeden bahsediyoruz ki olimpiyatlarda 100 metre finali neyse, Bocuse d’Or finali de aynen öyle bir şey. Bütün yeme-içme dünyasının müthiş ilgi gösterdiği bir olay. Dünyanın en önemli aşçılık yarışması. Yaşayan efsane Paul Bocuse adına yapılan bir yarışma. Fransa’da başladı ama artık uluslararası bir aşçılık yarışması. Geleneksel Batı mutfağı olma zorunluluğu yok. Hatta şu an yarışmacıların kendi memleketlerinden bir pişirme tekniği ya da ham madde götürme zorunlulukları var. Hem ülkemizin mutfak kültürü ve gelişimine büyük katkı sağlayacak hem de aşçılarımıza uluslararası platformda muhteşem bir tecrübe kazandıracak bir yarışma” diye konuştu.
Gürs, Kazanan Şef Gürcan Gülmez’in Mayıs 2014’te Stockholm’de yapılacak Avrupa finalinde Türkiye’yi temsil edeceğini ve milli takım gibi bir koçu, bir de yardımcısı olacak; üç kişilik bir takım halinde yarışıyor olacaklarını belirtti. 9 Mart’taki Türkiye finalinin hemen ardından TMD (Türk Mutfağı Derneği) bünyesinde Bocuse d’Or Türkiye Akademisi resmen kurulacak ve kazanan şefin hazırlıklarına destek verecek.
İLK KEZ DÜZENLENEN FUARA KATILIM YOĞUN
7-9 Mart 2013 tarihlerinde gerçekleşen Sirha İstanbul Fuarı, otel, restoran ve catering alanında uluslararası etkinliklerle desteklenen en önemli fuar olma özelliğini taşıyor. Dünyaca ünlü şeflerin Türkiye ve uluslararası gastronomiyi tanıttığı fuara yurt içi ve komşu ülkelerden 15,000 ziyaretçi, 50’si yabancı 150 firma katıldı.

Fuarın ilk kez Türkiye’de düzenlendiğini ve İstanbul'da her iki yılda bir gerçekleşeceğini belirten Sirha Fuarları Direktörü Marie-Odile Fondeur, şöyle konuştu: ''Bu yıl ilki düzenleniyor. Sirha fuarlarının asıl amacı restoran ve otel endüstrisine ait tüm çözümleri bir arada bulundurmaktır. Sirha fuarları, ağırlama sektörüne yön veren fuarlardır. 2013 yılı ocak ayında Lyon'da yapılan fuarda 3 bin katılımcı ve 185 bin ziyaretçi ağırladık. Bunların 18 bini şefti. Pek çok etkinlikle birlikte İstanbul'da da zamanla aynı başarıyı yakalayacağız ve ağırlama endüstrisine yön veren trendleri belirleyen bir fuar olarak adımızı yazdıracağız.'' dedi.

Bocuse d’Or Yarışma Direktörü Florent Suplisson ise Bocuse d’Or hakkında şunları söyledi: “Bocuse d’Or sadece bir yemek yarışması değil uluslararası gastronomik yetenekleri bir araya getiren bir dünya etkinliğidir. GL events tecrübe ve uzmanlığıyla Bocuse d’Or Türkiye Seçmesine katkı sağlamanın gururunu duyarken, Türkiye’yi Bocuse d’Or ailesine kazandırmanın da mutluluğunu yaşamaktayız. Dünyanın en önemli gastronomi etkinliğine hepiniz hoş geldiniz” diye belirtti.


Bocuse d’Or 2013 Türkiye kazananlar

Sirha İstanbul – İstanbul Kongre Merkezi 7 - 9 Mart 2013
İstanbul, Türkiye


Şef GÜRCAN GÜLMEZ, 1987 yılında Paul Bocuse tarafından başlatılmış Bocuse d’Or’un Türkiye birincisi oldu.

Sonuçlar:

BOCUSE D’OR - TÜRKİYE
2013 Türkiye birincisi GÜRCAN GÜLMEZ
Ödül : 3.000 €


BOCUSE D’OR - TÜRKİYE
2013 Türkiye ikincisi EROL SARIDOĞAN
Ödül : 2.000 €

BOCUSE D’OR - TÜRKİYE
2013 Türkiye üçüncüsü VOLKAN KARATAŞ
Ödül : 1.000 €


EN İYİ KOMİ ÖDÜLÜ: OKAN ÖZTÜRK

Mehmet Akif Ersoy anıldı


İstiklal Marşı'nın yazarı Mehmet Akif Ersoy, mezarı başında anıldı.12 Mart 2013 Salı 17:38
Mehmet Akif Ersoy anıldı

İLGİLİ GALERİLER

Ankara Valiliği, Ankara Büyükşehir Belediyesi, Türkiye Yazarlar Birliği (TYB) ve Vakıflar Genel Müdürlüğü tarafından, İstiklal Marşı'nın Kabulü ve Mehmet Akif Ersoy'u Anma Günü dolayısıyla Taceddin Dergahı'nda etkinlik düzenlendi.
Milli Eğitim Bakanı Nabi Avcı, etkinliğe katılan çocukların üşüdüğünü belirterek konuşmasını uzatmak istemediğini söyledi.
İstiklal Marşı için ilk teşebbüsü başlatan Maarif Vekaleti'nin yani Milli Eğitim Bakanlığı'nın mensubu olmaktan gurur duyduğunu ifade eden Avcı, ''İstiklal Marşımızı milyonlarca çocuğa öğreten anlatan, öğretmenlerimiz bakanı olmaktan gerçekten müftehirim. Mehmet Akif'i, Taceddin Dergahı'nı, İstiklal Marşı'nın yazılış hikayesini yıllardır milli hafızamızda tazeleyen Yazarlar Birliği'nin kurucu üyelerinden olmaktan dolayı müftehirim'' dedi.
Ankara Valisi Aladdin Yüksel de Mehmet Akif Ersoy'un milli ve manevi anlayışı, çağdaş düşünceyle yoğuran; toplumcu, milli ve ahlaki yeni bir çığırı Türk şiirine getiren büyük bir şair olduğunu anlattı.
MEZARI BAŞINDA ANILDI
İstanbul'da Edirnekapı Mezarlığı'ndaki anma törenine, Mehmet Akif Ersoy'un torunları Selma Argon, İstanbul Vali Yardımcısı Harun Kaya, Milli Eğitim Müdürü Muammer Yıldız, Eyüp Kaymakamı Osman Kaymak, Eyüp Belediye Başkanı İsmail Kavuncu ile öğrenciler katıldı.
BİRİNCİ MECLİS'TE ANMA PROGRAMI
İstiklal Marşı'nın kabulünün 92. yılı dolayısıyla Birinci Meclis'te de anma programı düzenlendi.
Ankara Devlet Tiyatrosu (ADT) tarafından İstiklal Marşı'nın kabulünün 92. yıl dönümü ve Mehmet Akif Ersoy'u anma programı çerçevesinde gerçekleştirilen etkinlikte, ADT Sanatçısı Cahit Çağıran'ın yazdığı ve yönettiği oyun sahnelendi.
CUMHURBAŞKANI GÜL'ÜN MESAJI
Cumhurbaşkanı Abdullah Gül de yayımladığı mesajda şunları kaydetti:
''Mehmet Akif, İstiklal Marşı'yla sadece Kurtuluş Savaşı'na değil, milletimizin tarihsel yolculuğuna, gönül ve ruh yüceliğine ışık tutmuştur. Biz çok iyi biliyoruz ki milletimizin birlik ve beraberliği, dayanışması ile üzerinden gelemeyeceği hiçbir şey yoktur. Akif de dizelerinde bunu en güçlü şekilde ifade etmiştir.''

le projet un peu fou du Lycée Pierre Loti d'Istanbul


“La Traversée”, c’est le projet un peu fou d’une classe de seconde du lycée Pierre Loti d’Istanbul. Leur défi : traverser l’Europe à vélo entre le 12 avril et le 12 mai. Mais à un mois du grand départ, leur budget n’est pas encore bouclé…
Lepetitjournal.com d’Istanbul s’était fait le relais de leur initiative dans un précédent article.

La Traversée, c’est :
- une aventure sportive et humaine d’un mois à vélo, entre la Turquie et la France (Istanbul-Strasbourg), de 3.000 km le long du Danube à travers 10 pays ;
- un groupe cycliste de 24 élèves de 16 ans + 14 adultes accompagnateurs ;
- une caravane logistique de 3 véhicules et 1 autobus pour assurer les approvisionnements, la sécurité, l’organisation des hébergements, certains transferts...
- des entraînements réguliers pour atteindre 1.500 km avant le grand départ (dimanches et 2 stages de 5 jours pendant les vacances de Toussaint et d’hiver).
Lors d'un entraînement à Gökçeada (photo Eddy Lioret)
Pour mener à bien ce projet, l’équipe a démarché des sponsors et a reçu des dons mais leur budget n’est pas finalisé.
Si vous souhaitez les soutenir et recevoir en retour un petit souvenir de l’aventure, voici comment procéder:

Effectuez un virement sur le compte bancaire du lycée Pierre Loti (en précisant bien l’objet du virement “Don La Traversée”)
Association des Parents d’élèves Lycée Pierre Loti GARANTI BANKASI – TAKSİM Şubesi
en €/Euros, IBAN : TR 91 – 0006 – 2000 – 0280 – 0004 – 0949 -62 (TGBATRISXXX)

en Lires turques/TL , IBAN : TR15 – 0006-2000-0280-0006-2985-21

Vous devez ensuite leur envoyer par mail votre décompte (latraversee@pierreloti.k12.tr) et vos coordonnées (nom, prénom, rue, N°, code postal, ville, pays) pour qu’ils puissent préparer l’enveloppe. Vous recevrez ainsi une carte cartonnée retraçant le parcours et les sponsors + une photo couleur (15 x 18 cm) de l’équipe de La Traversée.

La rédaction (www.lepetitjournal.com/istanbul) mercredi 13 mars 2013

Istanbul 30 mars 2013: ouverture du festival du film IKSV

Festival du film IKVS

Thématique Cinéma
Date de debut 2013.03.30
Date de fin 2013.04.14
Intro Créé en 1982, le Festival international du film d’Istanbul est le plus ancien festival du genre en Turquie. Ses dernières éditions ont rassemblé près de 200.000 visiteurs pendant deux semaines. Cette année encore, plus de 200 films seront projetés dont près d’une trentaine d’œuvres françaises. Une vingtaine de sections à thème sont prévues avec, entre autres, des longs métrages, des documentaires et des films d’animation. Les billets seront mis en vente le 16 mars. Le prix varie de 15 à 5 TL.
Description - La compétition internationale – Golden Tulip, qui récompense les films internationaux. Douze longs métrages sont en compétition.

- La compétition nationale :
Entre les films “en compétition”, “hors compétition”, les “documentaires” et le “nouveau cinéma turc”, 31 films turcs au total seront présentés cette année.

- La compétition Human Rights
Depuis sept ans, le prix FACE (the Film Award of the Council of Europe), soutenu par le Conseil de l’Europe, récompense les films qui interpellent la conscience du public et les sensibilisent aux droits de l’Homme.

- Prix de la critique et Prix du public : Un jury spécial remet également chaque année un prix à un film issu de la compétition internationale et de la compétition nationale.

- Meetings on the bridge
Pour la 8ème année consécutive, “Des rencontres sur le pont” sont organisées en parallèle de l’événement. Pendant deux journées, des représentants d’institutions européennes et des producteurs turcs se retrouvent afin de discuter de possibilités de financement.
Contact 0212 334 07 00
Adresse INTERNATIONAL ISTANBUL FILM FESTIVAL
Istanbul Foundation for Culture and Arts
Sadi Konuralp Caddesi, No: 5
Nejat Eczacibasi Binasi
Sishane - Istanbul
Lien http://film.iksv.org/en/archive/newsarchive/p/1/647
Posté par MA

soirée franco turque du 8 juin: billeterie cette semaine



CETTE SEMAINE: point de vente: mercredi 13 mars de 18h30 à 20h au restaurant SIZIN, 45, rue du Fbg Montmartre m° Le pelletier
sur le net: http://www.aiousinan.net

mardi 12 mars 2013

que faire samedi 16 mars à PARIS ? aller respirer à La Maison Européenne des Imaginaires

Samedi 16 mars 2013
de 14h30 à 18h30

LA RESPIRATION
... une fonction vitale
si naturelle pour tous les êtres que l’on oublie souvent. 

Un atelier pratique de 3 heures sera consacré à plusieurs exercices de respiration :

Conscientisation de la respiration avec Catherine Le Maignan :
à travers de simples exercices respiratoires, apprentissage d‘une meilleure conscience
et écoute de la respiration et de la présence au corps.

chant diphonique avec Cyprien Bole :
une initiation aux mystères des harmoniques, à une utilisation inhabituelle des cordes vocales, du diaphragme…

guimbarde avec Cyprien Bole :
une initiation à la maîtrise des parties du corps qui font résonner ce petit instrument métallique positionné devant la bouche.

L’atelier est animé par Emilie Maj, ethnologue spécialiste de la Sibérie, qui introduira chaque pratique et
parlera de la place de la musique dans le chamanisme en Sibérie.

UN APRES-MIDI D'ATELIER PRATIQUE
avec

Cyprien BOLE
est musicien.
Il pratique, notamment, le chant diphonique mongol,
la guimbarde sibérienne et les flûtes d’Asie centrale.
Il est l’auteur d’un manuel de chant diphonique
intitulé « Chanter seul à deux voix ».

Catherine LE MAIGNAN
est enseignante de hatha-yoga
diplômée de l‘Institut Eva Ruchpaul(IER).
Elle a travaillé comme productrice et a réalisé en 2005 un film
documentaire intitulé « Petite introduction à la guimbarde ».

Emilie MAJ
est anthropologue.
Elle a passé près de 4 ans en République Sakha
(Iakoutie). Parallèlement à sa carrière de chercheur, elle a organise des concerts de musique traditionnelle. Elle a fondé les Editions Borealia pour favoriser les publications sur la Sibérie.

L’atelier est ouvert à tous, sans connaissances musicales nécessaires. Inscriptions limitées à 17 personnes.
48 euros par personne (90 euros pour deux personnes, 130 euros pour trois) à l’ordre de la Maison Européenne des Imaginaires.
Une guimbarde offerte à chaque participant. Un pot est offert pendant la pause.
A l’issue de l’atelier : vente d’artisanat iakoute, de CD, DVD et livres touchant à la guimbarde, à la voix et au chamanisme.
Si le nombre de personnes désirant se rendre à l’atelier excédait ce nombre, nous proposerions un autre atelier identique au mois de mai ou juin.

BULLETIN D‘INSCRIPTION

Nom : ……………………
Prénom : ……..…………
Adresse : …………..………………………………
Téléphone ……………….…………
Mail : ……………………..…………
Souhaite inscrire ………. personne(s) à l’atelier du samedi 16 mars 2013.
Je joins à ce bulletin un chèque de 48 euros X .......... personnes, soit ……….. euros, à l’ordre de La Maison Européenne des Imaginaires.
(si vous êtes 2 personnes : 90 euros les deux, si vous êtes 3, 120 euros. pour davantage de personnes, nous consulter)

Envoyez dès à présent ce bulletin à l’adresse suivante : Emilie MAJ, 115 rue Oberkampf, 75011 PARIS
Renseignements par téléphone au 06 07 62 93 77 ou par mail à info.imaginaires@gmail.com
L‘atelier aura lieu dans le 17e arrondissement, près du métro Brochant

Yunanistan'da Mevlana gecesi


Atina'ya giden mesneviler, Yunan halkına alışkın olmadıkları bir gece yaşattı.10 Mart 2013 Pazar 23:12
Yunanistanda Mevlana gecesi
Avrupa'yı gezen Galata Mevlevi Musikisi ve Sema Topluluğu Yunanistan'da…
Topluluğun ilk durağı başkent Atina oldu.
Sema gösterisine Yunan halkı büyük ilgi gösterdi.
600 kişilik salonu dolduran Yunanlar, iki saat süren gösteriyi hayranlıkla izledi.
Türk Mevlevilerin Atina'dan sonraki durakları, Selanik ve Gümülcine…

Soirée franco turque du 8 juin 2013


CETTE SEMAINE: point de vente: mercredi 13 mars de 18h30 à 20h au restaurant SIZIN, 45, rue du Fbg Montmartre m° Le pelletier
sur le net: http://www.aiousinan.net

CORNE D’OR – Des enfants photographient leur quartier pour ne pas l’oublier


Un photographe de l’Université Kadir Has d’Istanbul, Ulaş Tosun, a monté en 2012 un atelier avec des enfants défavorisés de la Corne d’Or (Haliç), pour qu’ils immortalisent la vie quotidienne de leur quartier avant qu’il ne change de visage. Focus sur l’évolution de ce projet en 2013.
Dix enfants – roms, orthodoxes, turcs et arménien – élèves du lycée Rum de Fener et de l’école de Cibali, ont eu l’opportunité de suivre, en mai et juin 2012, des cours de photo-documentaire avec Ulaş Tosun. Ce projet s’est achevé avec l’exposition Souvenir de Quartier, qui regroupait des photos prises par les enfants accompagnées de textes écrits par des journalistes turcs de renom (Okan Bayülgen, Cüneyt Özdemir, Pakrat Estukyan, Pınar Öğünç, Alper Görmüs, NDLR).
Cette exposition s’est tenue en septembre 2012 à l’Université Kadir Has, dans les écoles des enfants et dans un café du quartier, Dostlar Kahvesi.
Instantanés de vie : écriture photographique de l’Histoire
"Il faut immortaliser la richesse de la vie quotidienne de ce quartier avant qu’elle ne disparaisse", explique l’ancien journaliste Ulaş Tosun. Les quartiers de la Corne d’Or, comme beaucoup d’autres à Istanbul, subissent des plans de transformation urbaine qui contraignent les populations défavorisées à partir, la vie y devenant trop chère.
Crédit photo UT
"Ces enfants sont sûrement les derniers à connaitre le quartier tel qu’il est", constate le photographe. Fener, Balat, Cibali, Kasımpaşa et Eyüp renferment l’histoire d’Istanbul. Illustration du métissage de la ville, Juifs, Grecs, Roms, Turcs cohabitent depuis des décennies dans les ruelles de ces quartiers. Pour cette deuxième édition, Ulaş Tosun veut faire évoluer l’atelier en sélectionnant des enfants roms et "en impliquant des institutions ou entreprises pour étendre le projet et travailler avec un nombre d’enfants plus conséquent."
Pour la première édition, l’université avait pris en charge l’achat des appareils photos, donnés aux enfants à l’issue du projet. Certains continuent de faire des photos. Elles sont publiées dans le journal de l’université, Cibali Postası, dont Ulaş Tosun est le responsable d’édition.
Un projet convivial
Le vivre ensemble, objectif majeur du projet Droit du voisinage (Komşuluk Hakkı projesi), dont l’atelier photo-documentaire n’est qu’une petite partie, est financé par l’université. Bâtiment imposant, sur les rives de la Corne d’Or, elle fait partie de l’histoire du quartier. Transformé en université il y a quinze ans, ce bâtiment était une ancienne fabrique à tabac où travaillaient des habitants des quartiers voisins.
Crédit photo UT
L’université privée alloue un budget à ce projet, qui permet d’organiser des événements pour venir en aide aux enfants handicapés mais aussi la mise à disposition des complexes sportifs de l’université aux enfants du voisinage.
L’éducation est au cœur du projet avec la mise en place d’heures d’études, au cours desquelles les étudiants de l’université aident les enfants du quartier à faire leurs devoirs. Le budget de Droit du voisinage aide aussi financièrement les écoles voisines dans l’achat de matériel.
Aurélie Darblade (http:/www.lepetitjournal.com/istanbul) mardi 12 mars 2013

lundi 11 mars 2013

ISTANBUL 12 mars 2013: Café Philo: Habiter la ville

Café Philo: Habiter la ville

Thématique Conférences
Date de debut 2013.03.12 19:00
Date de fin 2013.03.12
Intro Plus de la moitié des hommes habitent en ville, lieu de sociabilité et d’échanges par excellence, mais aussi une grande maison partagée avec des inconnus.
Description La ville est-elle le lieu où l’homme peut réaliser sa fin propre (Aristote), ou au contraire, un lieu de perte de soi, voire de perdition (Rousseau)? Habiter n’est pas loger, mais plutôt s’efforcer de déployer son être dans un espace étranger qui nous modifie....
Contact Fabienne Altinok
Adresse Notre Dame de Sion Fransiz Lisesi
Salle de Spectacle / Gösteri salonu
Cumhuriyet cad no 127
Harbiye -
tel: (0212) 219 16 97 Istanbul Turquie
Lien http://www.nds.k12.tr/-Agenda-culturel-
Posté par theatre

Istanbul 17 mars 2013:Mika au KüçükÇiftlik Park

Mika au KüçükÇiftlik Park

Thématique Concerts
Date de debut 2013.03.17 19h
Date de fin 2013.03.17
Intro Le chanteur américano-libanais Mika investit le KüçükÇiftlik Park le dimanche 17 mars.
Tarifs : 150-80 TL. 50 TL pour les étudiants.
Description Le chanteur et auteur-compositeur de pop Michael Holbrook Penniman, dit Mika, présente son troisième album, dont les singles sont Elle me dit, Celebrate et Underwater, s’appelle The Origin of Love, sorti en septembre 2012. Mika est francophone et son dernier album comprend des chansons d’amour en français.
Il interprétera les tubes qui ont marqué le début de sa carrière : Relax, take it easy, Grace Kelly ou encore Happy ending et We are golden, des titres qui ont déjà atteint dans plusieurs pays du monde le sommet des classements de ventes ou téléchargements.
Contact 0212 231 30 45
Adresse KüçükÇiftlik Park : Kadirgalar Yokusu No: 4 Maçka - Istanbul
Lien http://kucukciftlikpark.com/
Posté par MA

Istanbul: LA FASHION WEEK COMMENCE DEMAIN


La 8e édition de la Fashion Week d’Istanbul se déroulera du 12 au 15 mars. Quatre jours pendant lesquels le monde de la mode a rendez-vous avec les collections de la saison d’automne 2013. Les mannequins défileront à l’Entrepôt 3 d’Istanbul Modern et des évènements annexes sont prévus dans toute la ville. Alors que le secteur vit encore ses balbutiements en Turquie, un changement dans l’équipe organisatrice de l’événement pourrait accélérer son évolution.
La Fashion Week s’est installée à Istanbul il y a quatre ans. Les sept dernières saisons, le gouvernement turc prenait en charge l’organisation et le financement de l’événement. Mais aujourd’hui, IMG Fashion est aux manettes. “C’est une énorme machine“ explique au petitjournal.com Feride Tansuğ Erdoğan, organisatrice des défilés (photo LM).
La prise en charge de la Fashion Week par cette entreprise devrait changer la donne. Fini les défauts d’organisation, terminé les mauvaises surprises : place aux professionnels. La société qui gère la quasi totalité des défilés dans le monde s’empare aujourd’hui d’Istanbul.
La mode, secteur encore jeune à Istanbul
C’est une énorme opportunité pour les créateurs turcs” commente Feride Tansuğ Erdoğan, une pionnière dans le monde de la mode en Turquie. Présente dans l’organisation des sept dernières saisons, elle sait les enjeux de ce changement de propriétaire. Lorsqu’elle a ouvert son bureau de presse, il y a cinq ans à Istanbul, elle était la première à se lancer. Ce bureau spécialisé dans la mode a pour mission de promouvoir et de donner une visibilité aux créations de ses clients. “L’appart” expose un échantillon des lignes des créateurs dans un showroom et invite la presse à en prendre connaissance.
A Paris, la grande sœur de “L’appart” a été créée il y a plus de 20 ans. En Turquie, j’étais la première à monter ce genre d’entreprise. Il a fallu éduquer les magazines de mode et les stylistes et leur expliquer le but de notre existence. Le monde de la mode est tout jeune dans ce pays, il y a encore tout à faire.” Aujourd’hui, deux nouveaux bureaux de presse ont fait leur apparition. La prise en charge du défilé par IMG Fashion est encore un grand pas en avant.
Le showroom d'IMG Fashion à Istanbul (photo LM)
La médiatisation, clé de la réussite
“La Turquie a déjà un vrai savoir-faire dans le textile et les créateurs turcs ont du talent” analyse la jeune femme. Ne manque plus qu’une vraie visibilité. La presse internationale est attendue et de nombreuses célébrités devraient faire leur apparition. La présence de Karlie Kloss, figure de la chaine de sous-vêtements Victoria’s Secret, et de personnalités turques devraient aider à la médiatisation de l’événement.
En coulisses...
- Vogue lounge expose les collections de créateurs d’accessoires, du 12 au 16 mars, au Beg à Karaköy. Ceux qui ne peuvent pas défiler ont aussi droit à une visibilité !
- Elle dévoile les collections de jeunes créateurs turcs lors d’une soirée le 14 mars au W hôtel.
- GQ organise une soirée et expose les collections exclusivement masculines le 13 mars au Beymen à Sisli.
- L’Edito Gallery Bu près de Taksim, présente elle aussi les créations de jeunes talents du 12 au 16 mars.
Lola Monset (http://www.lepetitjournal.com/istanbul) lundi 11 mars 2013

Clermont Ferrand: un jeune turc à la tête d'une boulangerie


Deux jeunes Clermontois reprennent la boulangerie du quartier Saint-Jacques
Ilyas Oguz, 33 ans, est à la tête des P’tits pains depuis un mois, aux côtés d’un ami lui aussi originaire du quartier Saint-Jacques.? - photo francis campagnoni

L’enseigne Crousti Pain a disparu du boulevard Claude-Bernard, à Saint-Jacques, où elle était installée depuis 2006. Elle est devenue Les P'tits pains. Plus qu’un changement à Clermont-Ferrand, une petite révolution. Avec une forte dimension symbolique.
« Arrêter de faire passer les jeunes pour des sauvages »
Ilyas Oguz, 33 ans, est à la tête des P’tits pains depuis un mois, aux côtés d’un ami lui aussi originaire du quartier Saint-Jacques.? - photo francis campagnoni
Elle a jeté l'éponge, dit-elle, « de guerre lasse ». Usée, fatiguée après deux dernières années d'exploitation marquées par les tensions et les incivilités à répétition, Sophie Duprez a choisi de plier bagage. Il y a un mois, la fondatrice et présidente de l'enseigne Crousti Pain a trouvé un duo de jeunes investisseurs prêts à relever le défi. Marché conclu.
Le premier, désormais actionnaire majoritaire, s'appelle Ilyas Oguz. Le second, Ismaël Abioui. Tous deux ont grandi dans le quartier. Ici, ils connaissent tout le monde. Et tout le monde les connaît.
« Forcément, ça change beaucoup de choses », reconnaît Ilyas Oguz, en balayant sa boutique du regard. Depuis l'âge de huit ans, ce natif de Sivas, en Turquie, balade sa solide silhouette au milieu des barres d'immeubles de Saint-Jacques. Ce qui lui permet, aujourd'hui, d'être à la fois écouté et respecté.
Le résultat est visible, spectaculaire même : les grappes de jeunes qui autrefois s'agglutinaient devant et dans le magasin ont disparu ; les vendeuses n'ont plus à essuyer insultes et quolibets ; les tables et chaises, supprimées par la précédente gérante pour éviter les attroupements, ont refait surface.
À en croire Ilyas Oguz, la transition s'est faite en douceur. Sans heurts, ni cris. « Les jeunes, il suffit de savoir leur parler, explique le trentenaire, qui a longtemps travaillé dans le bâtiment. On les présente toujours comme des bons à rien ou des trafiquants, mais c'est faux. Il faut arrêter de les faire passer pour des sauvages ! Pour beaucoup, ce sont des gens qui bossent. Si on leur fixe des règles, ils sont capables de les respecter. La preuve : quand ils entrent ici, c'est "bonjour, merci et au revoir". »
Le retour de la sérénité devant et derrière la porte a déjà facilité celui de clients qui avaient, pour certains, déserté les lieux. « On revoit des mamies avec des enfants, des groupes de filles qui viennent acheter une baguette, ou même s'installer pour prendre le déjeuner, raconte le nouveau gérant. Le magasin est ouvert à tous, sans distinction. J'y tiens. »
Un mois après son arrivée aux affaires, Ilyas Oguz tire un premier bilan « positif ». Il n'a changé ni les horaires, ni les vendeuses, ni la gamme de produits proposés. Seuls l'enseigne et l'intérieur de la boutique – repeints en rouge – ont été modifiés. « On va voir comment ça peut fonctionner en l'état, avant d'apporter des modifications », dit-il. Mais déjà, les idées (« pourquoi pas une terrasse ? ») commencent à germer.
En cas de futurs travaux, le patron des P'tits pains n'exclut pas de demander un coup de main aux jeunes du quartier. « Si j'ai besoin d'aide, ils viendront, c'est sûr. Moi non plus je n'étais pas un ange à leur âge. Mais si on va vers eux et qu'on leur propose des choses, on peut compter sur eux. »
Stéphane Barnoin

soirée franco turque du 8 juin 2013

CETTE SEMAINE: point de vente: mercredi 13 mars de 18h30 à 20h au restaurant SIZIN, 45, rue du Fbg Montmartre m° Le pelletier
sur le net: http://www.aiousinan.net

Anadolu'nun tarihini değiştirecek


Ovaören kazılarıyla ilgili Prof. Dr. Şentürk, önemli açıklamalarda bulundu.09 Mart 2013 Cumartesi 17:14
Anadolunun tarihini değiştirecek
Nevşehir'deki Ovaören bölgesinde yürütülen kazı çalışmaları, bir konferansla kamuoyuyla paylaşıldı. Kazı Başkanı Prof. Dr. Yücel Şentürk, "Eğer bir yazılı belge bulursak bölge tarihi ve Anadolu tarihi daha çok aydınlanmış olacak" dedi.
Ovaören bölgesindeki arkeolojik kazılar, 2006'dan beri sürüyor. Nevşehir Üniversitesi'nde bir konferans düzenlendi. Kazılardan elde edilen bulgular ve bunların şehrin tarihine ışık tutan yanları konuşuldu.
"ANADOLU'NUN TARİHİNİ DEĞİŞTİREBİLECEK NİTELİKTE"
Kazı Başkanı Prof. Dr. Yücel Şentürk, bulguların Anadolu'nun tarihini değiştirebilecek nitelikte olduğunu düşünüyor.
İNSANLIĞIN 10 BİN YILLIK SERİVENİNDEN DERİN İZLER
Gazi Üniversitesi Öğretim üyesi ve Kazı Başkanı Prof. Dr. Yücel Şentürk, kazıların tarihsel niteliğiyle ilgili şunları söyledi:
"Yapılan çalışmalar, özellikle Nevşehir başta olmak üzere bir çok ilklerin varlığını ortaya çıkarmakta. İsanlık tarihinin, burada tanık olunduğunu biz ortaya çıkarıyoruz. Özellikle, insanoğlunun 10 bin yıllık serüveni kabaca söylemek gerekirse, Nevşehir’de kendini Ovaören kazılarında göstermiş oldu."
Çalışmaların, en az 20 yıl daha sürmesi bekleniyor. Kazılarla, turistik Kapadokya bölgesine yeni bir ziyaret noktası eklenmiş oldu.
Ovaören kazılarının turizm açısından önemine de vurgu yapan Prof. Dr. Yücel Şentürk, "Bizim yaptığımız çalışma, daha farklı bir destinasyon ortaya çıkartacak. Bölge turizmine yeni bir ziyaret noktası ortaya çıkardı. Bilimsel verileri itibariyle de Anadolu'nun yer altındaki saklı kalmış tarihine de çok önemli veriler sunmakta" diye konuştu.
"YAZILI BELGE DE BULURSAK..."
Bölgede, yazılı belge bulunması ise ayrıca önem taşıyor.
Prof. Dr. Yücel Şentürk, "Özellikle bundan sonraki kazılarımızda eğer bir yazılı belge bulursak ki bunun izlerini bulmaya başladık. Mesela, bulduğumuz bir mühür, biliyorsunuz yazılı belgelere basılan bir araçtır. Onun yazılı belgelerini bulduğumuz zaman bölge tarihi ve Anadolu tarihi daha çok aydınlanmış olacak."
Kazılarda ortaya çıkan belge ve eserler, Nevşehir Müzesi'nde sergilenecek. 

"Sultan", Yönetmenlik Yapacak


Sanatçı Türkan Şoray, yeni çekilecek bir filmde yönetmenlik yapacağını açıkladı.09 Mart 2013 Cumartesi 18:27






Zonguldak'ın Ereğli ilçesindeki Atatürk Kültür Merkezi'nde düzenlenen söyleşi ve imza gününe katılan Şoray, hayranlarının yoğun ilgisiyle karşılaştı.

Şoray, hayatının unutamayacağı en güzel anlarından birini yaşadığını belirterek, kendisini hiçbir zaman star olarak görmediğini, emekçi olduğunu ve 50 yıldır çalıştığını söyledi.

Şoray, şunları kaydetti:

"Şimdi çok daha güzel film yapma imkanına sahipler. Neden- Çünkü bir kere sansür yok. Biz yıllarca 'burayı çekmeyelim, sansür olur, film oynamaz' korkusuyla filmler yaptık. Sansüre takılmayan filmlerin benzerleri yapılıyordu ki yatırımcı parasını garantiye alsın. Bu, bizim yaratıcılığımızı müthiş engelliyordu. Sanatın en büyük engeli sansürdür.

Yeni çekilecek bir filmde tekrar yönetmenlik yapacağım. Osman Şahin yazıyor senaryoyu, onun yönetmenliği teklif edildi kabul ettim. Ben, yeni sinemacılarından mazereti yok, en iyi filmleri bekliyorum."

ŞORAY ŞARKI SESLENDİRDİ

Ereğli Belediye Başkanı Halil Posbıyık ve katılımcıların ısrarı üzerine şarkı söyleyen Şoray, bir albüm yapmak istediğini ve bu konuda da çalışmaların başladığını belirterek, "Gündemdeki şarkılar değil de annemin söylediği, çocukluğumda duyduğum şarkılar. Bunlar insanın o kadar hayatına, beynine ve dokularına işliyor ki" dedi.

Belediye Başkanı Posbıyık da Türkiye tarihinde bir ilkin yine Ereğli'de yaşandığını, Türkan Şoray'ın albümünde yer alan bir şarkısını burada seslendirdiğini kaydetti.

Zaman zaman duygusal anlar yaşayan Şoray, hayranlarına "Sinemam ve Ben" isimli kitabını imzaladı.

dimanche 10 mars 2013

La Turquie est très proche de devenir membre de l’UE


la-turquie-est-tres-proche-de-devenir-membre-de-lue-

« La Turquie a une grande importance au niveau économique et politique pour l'Union européenne. A cet égard, les deux parties ont besoin l’une de l’autre. La Turquie a réalisé d’importantes réformes au cours des 10 dernières années, et continue de les mettre en œuvre », a déclaré Hakan Akesson, ambassadeur d’Ankara en Suède.
Il a également précisé que la Suède allait apporter son soutien à l'adhésion de la Turquie à l'UE.
« Le processus de négociation de la Turquie a débuté en 2005. Nous avons été très heureux par l’événement en Suède. Aujourd'hui, nous devons nous efforcer d'achever ce processus tous ensemble et dès que possible. La Turquie est en train de préparer son adhésion à l'UE et dans ce cadre, il reste des réformes à établir. La nouvelle Constitution est le projet le plus important. La Turquie, est très proche de devenir membre de l'UE et nous pensons qu’elle peut beaucoup apporter à l’Union. L'achèvement du processus dépend des réformes et des efforts de la Turquie » a-t-il ajouté.
Date de l'information : 08 Mars 2013 00:40

soirée franco turque du 8 juin 2013: billeterie

CETTE SEMAINE: point de vente: mercredi 13 mars de 18h30 à 20h au restaurant SIZIN, 45, rue du Fbg Montmartre m° Le pelletier
sur le net: http://www.aiousinan.net


MANIFESTATIONS "voix de femmes" et "NON A LA GUERRE" à PARIS

Les éditions Turquoise sont heureuses de vous convier à deux grandes
manifestations autour des anthologies "Voix de Femmes" et "Non à la Guerre",
à l’occasion de la journée internationale de la femme et du printemps des poètes.
Tout d’abord, le jeudi 7 mars aura lieu à 18h30
une soirée autour de "Voix de Femmes" à l’Institut du Monde Arabe (L’IMA).
Au programme, lecture de poèmes et dédicaces.
Institut du Monde Arabe
1, rue des Fossés Saint-Bernard, 75005 Paris.

Ensuite, le samedi 16 mars, l’hôtel Lutétia organise une rencontre à 18h00
autour de l’anthologie "Non à la guerre".
Au programme, lecture de poèmes, diaporama et dédicaces.
"Les Samedis littéraires de hôtel Lutetia"
Hôtel Lutétia. Salons de lecture,
45, boulevard Raspail 75006 Paris.
Au plaisir de vous voir lors de ces deux manifestations.