samedi 9 juillet 2016

Mersin's Aynalıgöl awaits visitors


 Hürriyet daily news
The Aynalıgöl (Gilindire) Inn, which was discovered 15 years ago by shepherds in the southern province of Mersin’s Aydıncık district, and called the “eighth wonder of the world” by Turkish tourism officials, has been prepared to welcome visitors. 

“The Gilindire Inn was discovered by shepherds in 1999 in Aydıncık. Also known as Aynalıgöl, the inn is one of the most striking spots in Turkey,” Aydıncık Mayor Ferat Aktan said, adding that works are continuing to strengthen tourism infrastructure.

Aktan described the inn as a “natural wonder.”

“The stalactites, walls and stones formed inside the inn are so fascinating that one could spend hours there. The inn is also important in terms of tourism. It could be the eighth wonder of the world. Visitors will be surprised and fascinated at each step, while at one end of the inn there is a lake,” he said.

He also added that the ancient site of Kelenderis and the Susanlık Castle are among the places worth seeing in the area.


60 million years 
The Gilindire Inn, which is thought to date back 60 million years, is 55 meters in length and 46 meters in depth.

Located 47 meters below sea level, it has a number of remarkably well-preserved formations like stalactites and stalagmites.

The underwater formations at the inn contain all hydrological and atmospheric data of the Ice Age.

The inn welcomed around 15,000 visitors in 2014.
https://tpc.googlesyndication.com/simgad/401329829832042123 

vendredi 8 juillet 2016

HAUT KARABAGH Les soldats Arméniens réalisent une découverte archéologique au Haut Karabagh lors du creusement de tranchées de défense

Le 5 mai 2016 à l’est de la République du Haut Karabagh lors des travaux de creusement de tranchées par les forces armées arméniennes, fut découvert un site archéologique avec des tombes antiques. Des tombes datant probablement du Ier siècle avant J.-C.
Diana Miridjanian, la directrice-adjointe du « Service de protection des sites historiques » de la République du Haut Karabagh a indiqué au correspondant de l’agence de presse « Artsakhpress » que lors des travaux réalisés par les militaires Arméniens, fut découvert deux champs de tombes anciennes de l’Antiquité, 2 vases entiers et 4 autres morceaux de vase. Des études sont actuellement réalisées pour examiner les données et déterminer avec précision leur datation ainsi que leur appartenance. Le porte-parole du ministère de l’Economie de la République du Haut Karabagh, Sergueï Chahverdian a déclaré que « les soldats Arméniens défendent non seulement les frontières de l’Etat, mais également luttent pour la conservation du patrimoine de notre culture arménienne. »
Le sol du Haut Karabagh, habité depuis des millénaires par de nombreuses civilisations, recèle encore de très nombreux trésors à découvrir.
Krikor Amirzayan

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Nouvelles d'Armenie  

jeudi 7 juillet 2016

LA TURQUIE AU FESTIVAL D'AVIGNON

 








LA TURQUIE EST PRÉSENTE AU FESTIVAL D’AVIGNON
CE MOIS DE JUILLET 2016
La destination a apporté son soutien à des acteurs turcs venus d’Istanbul 
et qui se produiront au Festival d’Avignon au travers trois spectacles, sous-titrés 
en français. Leurs créations résolument contemporaines et internationales 
pourraient bien les placer dans un futur proche parmi les forces novatrices du théâtre en Europe.
La compagnie Hayal Perdesi – en coproduction avec le Festival de Théâtre d’Istanbul – présentera « Les Trois Sœurs »d’Anton Tchekhov, adaptée et mise en scène par Aleksandar Popovski.
Créée en Mai dernier à Istanbul, ce spectacle étonnant propose une relecture contemporaine d’un des grands classiques du théâtre.
…Trois filles bloquées à la frontière. Elles attendent de quitter l’Est pour l’Ouest, dans l’espoir d’une vie meilleure. Trois actrices qui rêvent d’aller à Berlin pour y jouer la pièce « Les Trois Sœurs ». Elles se mettent à interpréter des extraits de la pièce de Tchékhov.
La distribution est emmenée par deux célèbres comédiennes turques Özge Özder
 et Selin İşcan, accompagnées de la prometteuse Tuba Karabey.
Cette pièce est la dernière production de la jeune compagnie turque Hayal Perdesi
 créée en 2013 ; elle sera donnée au Festival Off d’Avignon en parallèle à
leur précédente création intitulée «  Les Bâtisseurs d’Empire » , avant de
poursuivre son chemin en Ecosse au mois d’août dans le cadre du 69ème Festival d’Edimbourg.

Une autre compagnie turque, la compagnie Pangar donnera une représentation intitulée « Les Cocons » du 7 au 30 Juillet au Théâtre de l’Entrepôt d’Avignon.
Les trois comédiennes, grandes vedettes en Turquie, seront à l’affiche avec cette comédie, qui nous fera respirer dans un monde globalement terrorisé. Trois femmes au foyer se retrouvent à l’heure du thé. Pour ces femmes, le monde extérieur est synonyme de danger.Cette pièce en turc a été écrite par Adalet Ağaoğlu et mise en scène par Ayşenil Şamlıoğlu avec les comédiens Demet Evgar, Binnur Kaya et Esma Dermancıoğlu.


Ces trois pièces sont vivement recommandées à tous les amateurs de théâtre, 
enlevées et sur-titrées à souhait !
www.avignonleoff.com


Renseignements:


Service de la Culture et de l'Information de l'Ambassade de Turquie à Paris
102 Champs Elysées - 75008 Paris
Tel: 01 45 62 78 68 / info@infosturquie.com
www.turquietourisme.gov.tr

‘Madonna in a Fur Coat’ by Sabahattin Ali

William Armstrong - william.armstrong@hdn.com.tr


‘Madonna in a Fur Coat’ by Sabahattin Ali, translated by Maureen Freely and Alexander Dawe (Penguin Modern Classics, 176 pages, £10)

It has taken a long time for Sabahattin Ali to be translated into English. Although he died almost 70 years ago, he is today one of the most popular authors in Turkey. Many Turkish readers are ambivalent about the local contemporary writers who are best known in the West – Orhan Pamuk, Elif Şafak, etc.
 

Ruines archéologiques de Mohenjo Daro

site de l'UNESCO:

Ruines archéologiques de Mohenjo Daro
Ce site conserve les ruines d'une ville immense de la vallée de l'Indus, entièrement construite en brique crue et remontant au IIIe millénaire av. J.-C. Son acropole, élevée sur d'énormes remblais, ses remparts et la rigueur du plan de sa ville basse témoignent d'un urbanisme strictement planifié.
Valeur universelle exceptionnelle
Brève synthèse
Les Ruines archéologiques de Mohenjo Daro sont l’établissement urbain le mieux préservé d’Asie du Sud. Elles remontent au début du troisième millénaire avant l'ère commune et ont exercé une influence considérable sur le développement ultérieur de l’urbanisation. Elles sont situées sur la rive droite de l’Indus, à 510 kilomètres au nord-est de Karachi et à 28 kilomètres de Larkana (district de Larkana, province du Sind). Le bien renferme les vestiges de la métropole de la civilisation de l’Indus, l’une des trois grandes civilisations antiques, qui a connu son apogée entre 2500 et 1500 avant J-C. dans la vallée de l’Indus.
La découverte de Mohenjo Daro, en 1922, a révélé des témoignages des coutumes, de l’art, de la religion et des aptitudes administratives de ses habitants. Cette ville avait été édifiée principalement en brique cuite, selon un plan bien conçu : elle était dotée de bains publics, d’une institution religieuse, d’un réseau d’égouts complexe, de puits, de fosses septiques pour l’élimination des eaux usées et d’une immense réserve de grain, autant d’indications qu’il s’agissait d’une métropole de grande importance, qui jouissait d’une organisation civile, économique, sociale et culturelle de premier ordre.
pour consulter l'article complet et la galerie de photos:
 

mercredi 6 juillet 2016

Archéologie et fouilles archéologiques en Iran

Archéologie et fouilles archéologiques  en Iran
avec un aperçu sur les relations
archéologiques irano-britanniques des débuts 
au XXe siècle

N°124 de mars 2016 de la revue  de TEHERAN,  mensuel culturel iranien en langue française

JPEG - 49.4 ko Découverte réalisée à Persépolis 
En tant que berceau de la civilisation humaine, le Moyen-Orient, et en particulier l’Iran, constitue l’un des principaux centres d’intérêt des explorateurs et des archéologues. Pendant presque trois siècles (1501-1786), la forte présence des Européens en Iran, ainsi que la méconnaissance des Iraniens de leur précieux héritage historique ont mené à la perte d’une grande partie des vestiges archéologiques iraniens qui ont été, généralement sans aucune autorisation, sortis de l’Iran. Pourtant, la Grande-Bretagne, avec sa longue présence en Iran, ne représente qu’une faible part de ce pillage. Malgré l’atteinte aux patrimoines matériels et immatériels culturels en Iran et en Mésopotamie, la présence étrangère, notamment européenne, a joué un rôle important dans la construction de l’identité culturelle des habitants de ces régions au travers des fouilles archéologiques et recherches historiques qu’elle a menées. De plus, tous les mouvements libéraux des époques suivantes, y compris le mouvement Constitutionnel iranien, se sont réclamés de l’identité millénaire à laquelle ils devaient leur gloire.




mardi 5 juillet 2016

UNESCO World Heritage Committee to meet in Istanbul


The 40th meeting of the UNESCO World Heritage Committee will be held in Istanbul between July 10 and 20. 

At the meeting the committee will decide on which cultural and natural heritage to include on the UNESCO World Heritage List.

Turkey is also on the application list this year, for the ancient ruins of Ani in eastern Anatolia on the border with Armenia.

The meeting will be hosted by the Culture and Tourism Ministry, the UNESCO Turkey National Committee, the Istanbul Governor’s Office and the Istanbul Metropolitan Municipality.

The opening of the meeting will be held on July 10 by the Culture and Tourism Minister Nabi Avcı and UNESCO General Director Irina Bokova. On the second day of the meeting, Avcı will also attend a meeting on the protection of Syrian cultural heritage.

A total of 33 applications to join the list will be discussed during the Istanbul meeting.

lundi 4 juillet 2016

Monastery new discovery in underground city in Cappadocia


AA photo  AA photo
A monastery hewn from the rock has been found during excavations and cleaning works in an underground city that was discovered in 2014 in the Central Anatolian province of Nevşehir during a Turkish Housing Development Administration (TOKİ) urban transformation project. 

Excavation and cleaning works have been continuing on an area of 400,000 square meters that includes 11 neighborhoods around Nevşehir Castle, which is situated in the city center and has been declared a third-degree archaeological area. 

At the beginning of the year, a historic church was discovered in the underground city. The church features frescoes depicting the ascension of Jesus to heaven as well as other important objects for the Orthodox community. There are also frescoes showing the apostles, the saints and prophets Moses and Elijah.
 
The latest discovery is a monastery carved from the rock that may date back to the fifth or sixth centuries. 

Nevşehir Mayor Hasan Ünver said the discovery of new places in the underground city had provided great excitement to academics and archaeologists.

The discoveries have already begun to draw foreign and Turkish academics, as well as documentary makers, to the region. “Works in the field may result in things that are very important in the history of humanity,” he said. 

Ünver said the first cleaning of the monastery was continuing. “Sensitive cleaning will also be made. We also find various objects here and deliver them to the museum.” 


Entire field taken under protection 
The mayor said the underground city covered a very large area and that some parts of it would open to visits next year. 

The excavations have so far revealed oil factories, water ways, common areas, an underground church and horse stables used by old armies, Ünver said.

“When works first started in the field with TOKİ, nobody knew that there was an underground city. When this place is cleaned, we will open all of the findings to tourism. We are very excited about the works. In further stages, the most famous restorers of Turkey and the world will work here. Some parts of these places will open to tourism next year. We have brought the entire area under protection. As cleaning work is done, it will be partially opened,” the mayor said.

Archaeologist Semih İstanbulluoğlu, who is closely following the works in the underground city, said they were very excited at the discoveries of the rock-hewn church and the monastery. 

İstanbulluoğlu said the newly discovered complex likely dated from the fifth century. “We will see what we find in the next stages. The history of this place is very old. If we can find evidence from the Hittite era, we will make a great contribution to Nevşehir’s history.”

Le nomadisme, un mode de vie ancestral au sud-ouest de l’Iran

la revue de Teheran le mensuel culturel iranien en langue française
n° 54 de mai 2010

Djamileh Zia 
L’étude du nomadisme en Iran intéresse les chercheurs parce que le nombre de personnes ayant ce mode de vie en Iran était important jusqu’à il y a peu, et parce que les tribus nomades ont influencé la vie politique de l’Iran tout au long de l’histoire. L’un des aspects étudié dans ce domaine est le nomadisme au cours de la préhistoire et de l’Antiquité. Les archéologues estiment que le nomadisme a débuté au sud-ouest de l’Iran au cours du Ve millénaire av. J.-C. et a joué un rôle décisif dans la création des Etats primitifs dans cette région.

Les textes des auteurs grecs à propos de l’Empire achéménide

Les Perses et les Mèdes, ces tribus indo-européennes qui se sont installées dans les régions septentrionale et méridionale des montagnes Zâgros au cours du IIe millénaire av. J.C. et y ont créé des Etats, étaient des nomades à l’origine. On considère que l’Empire achéménide a été fondé en 550 av. J.-C., lorsque Cyrus II (Cyrus le Grand), roi d’Anshân, [1] conquit les territoires mèdes et unifia ainsi les Etats mède et perse.
  

dimanche 3 juillet 2016

Seven centuries of war in Turkish cinema


This week’s new release, director Serdar Gözelekli’s “Muna,” takes a look at war and its consequences through the eyes of its titular character, a 6-year-old Palestinian girl. While the film is not set in Turkey, the war in question is not far off. Muna’s family’s house is raided by Israeli soldiers one night in 2009. The little girl hides in the kitchen cabinet, only to find out in the morning that she is all alone.

Muna takes to the streets in search of her parents. During her search, Muna comes across Ela (Leyla Göksün), a surgeon who has traveled from Turkey with Doctors Worldwide to help victims of war. Ela’s colleague Ali (Turgay Aydın), along with his childhood friend Süleyman, come to their aid, searching for little Muna’s parents. All of them confront the realities (and atrocities) of war during their quest.

http://www.hurriyetdailynews.com/seven-centuries-of-war-in-turkish-cinema.aspx?pageID=238&nID=100925&NewsCatID=381